Beschreibung:

Ce qui allait constituer l'ultime et glorieuse incarnation de la fabuleuse série « XK » des Jaguar sport apparut en 1957. Comme le suggère sa désignation, la XK 150 était un développement progressif des XK 120 et XK 140 qui conservait le même châssis de base, le moteur 3,4 litres et la boîte Moss à quatre rapports de ses devancières tout en bénéficiant d'un élargissement de la caisse donnant davantage d'espace intérieur et une vision améliorée de la route grâce à un grand pare-brise monopièce, enveloppant à la place du pare-brise à deux glaces en dièdre de la 140. Astucieusement, la nouvelle carrosserie réutilisait de nombreux éléments emboutis des XK 120 et 140 et le supplément de largeur était obtenu par l'intégration d'une bande centrale de 10 cm de large. Un rehaussement de la ligne des ailes avant et un élargissement de la calandre constituaient d'autres différences visuelles, mais la principale amélioration du nouveau modèle concernait les freins à disque Dunlop. Le fading (évanouissement) des freins après plusieurs freinages appuyés avait été un point faible des types antérieurs à freins à tambour. Désormais, la force du freinage était à la hauteur des extraordinaires capacités de vitesse en ligne droite de la XK. Introduite au printemps 1957, la XK 150 fut d'abord disponible sous forme de coupé et de cabriolet, la version roadster n'apparaissant que l'année suivante. À 190 ch, la puissance disponible du moteur 3,4 litres standard était égale à celle de la XK 140 et les performances furent sensiblement les mêmes. Un overdrive et une boîte automatique Borg-Warner furent proposés en option, cette dernière devenant peu à peu la plus fréquente, tandis qu'un différentiel autobloquant Thorton Powr-Lok devenait disponible sur la XK 150S. Pour 1960, la XK 150 fut proposée aussi avec le moteur XK 3,8 litres de 220 ch apparu d'abord dans la berline Jaguar Mark X. Dans cette version, le supplément de poids était largement compensé par la puissance du nouveau groupe, la « 3.8 » étant régulièrement chronométrée à plus de 210 km/h par les magazines. Peinte en Old English White avec intérieur en cuir rouge, ce roadster XK 150 équipé d'un overdrive, qui a été restauré aux Etats-Unis il y a environ sept ans, a été une des voitures préférées de son propriétaire. La voiture qui est restée en bon état général est accompagnée de son certificat de dédouanement qui atteste que les taxes douanières ont été acquittées dans la zone UE, d'un certificat de propriété, et d'un contrôle technique espagnol. What would turn out to be the final glorious incarnation of Jaguar's fabulous 'XK' series of sports cars arrived in 1957. As its nomenclature suggests, the XK150 was a progressive development of the XK120 and XK140, retaining the same basic chassis, 3.4-litre engine and four-speed Moss transmission of its predecessors while benefiting from a new, wider body that provided increased interior space and improved visibility courtesy of a single-piece wrap-around windscreen, replacing the XK140's divided screen. Cleverly, the new body used many XK120/140 pressings, the increased width being achieved by means of a 4"-wide central fillet. A higher front wing line and broader radiator grille were other obvious differences, but the new model's main talking point was its Dunlop disc brakes. Fade following repeated stops from high speed had been a problem of the earlier, drum-braked cars, but now the XK had stopping power to match its prodigious straight-line speed. Introduced in the spring of 1957, the XK150 was available at first only in fixed and drophead coupé forms, the open roadster version not appearing until the following year. At 190bhp, the standard 3.4-litre engine's maximum power output was identical to that of the XK140, so performance was little changed. Overdrive and a Borg-Warner automatic gearbox were the transmission options, the latter becoming an increasingly popular choice, while a Thornton Powr-Lok limited-slip differential was available