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Auction archive: Lot number 29

1967 JAGUAR TYPE E 4.2 FHC

Estimate
€90,000 - €120,000
ca. US$99,127 - US$132,170
Price realised:
n. a.
Auction archive: Lot number 29

1967 JAGUAR TYPE E 4.2 FHC

Estimate
€90,000 - €120,000
ca. US$99,127 - US$132,170
Price realised:
n. a.
Beschreibung:

Matching Numbers Restauration de qualité Etat de fonctionnement optimal Carte grise française de collection Châssis n° 1E33817 Moteur n° 7E 11061-9 La Jaguar Type E, tout comme la XK qu’elle remplace, va établir une nouvelle référence en matière de voiture de sport. Hormis son moteur qui est une évolution du bloc existant, tout le reste de la voiture est issu d’un développement nouveau. Son design époustouflant tout d’abord est une évolution de la Type D de compétition qui favorise une bonne stabilité et un taux de pénétration dans l’air exceptionnel pour une voiture de série à l’époque. Mais ce qui va faire le succès de la Type E au-delà de son design, ce sont ses performances exceptionnelles pour l’époque lui permettant de rivaliser avec des concurrentes beaucoup plus chères. La première série de Type E débutera sa carrière dotée d’un moteur 3,8 l jusqu’en 1964 puis fin 1965 elle recevra un moteur de 4,2 l développant 265 ch. Disponible d’abord en coupé et en cabriolet, une alternative en 2+2 sera proposée à partir de 1966. La Type E évoluera au fil du temps pour répondre aux exigences commerciales et légales des Etats Unis notamment. Si les premières Jaguar Type E restent aujourd’hui les plus recherchées, c’est qu’elles parviennent à réunir ce qu’il faut d’élégance, de sportivité et de confort dans un segment ou ses concurrentes atteignent des prix largement supérieurs. Parmi celles-ci, la Série 1 4,2 l est de loin la plus performante et facile à prendre en main. Notre exemplaire est un coupé série 1 4,2 l de 1966, dans une très belle combinaison de Gunmetal Grey sur un intérieur bordeaux. Cette configuration fait sans aucun doute partie des plus belles possible sur ce modèle. Le propriétaire actuel achètera son auto en 2018 chez un professionnel de la région parisienne. Déjà à cette époque, une restauration complète et intensive avait été effectuée. L’état de la voiture était parfait et a donc su convaincre ce passionné. La voiture n’a été que peu utilisée depuis. Une facture d’entretien datant de 2020 et s’élevant à plus de 7 000 € témoigne des quelques ajustements ayant été nécessaires après une restauration de ce calibre, avec par exemple la réparation d’une fuite d’essence au réservoir, ou le réglage de l’alignement de la malle arrière. Aujourd’hui, la voiture nous est présentée dans un très bel état de présentation. La peinture est bien tendue, et les alignements sont bons. L’habitacle tout étendu de cuir flatte l’œil au premier regard et l’on remarque immédiatement la présence des magnifiques petits baquets normalement réservés aux Série 1 3.8. Les moquettes, les contre-portes tout comme le ciel de toit ont été changés lors de la restauration de l’ensemble et une radio cachée a été rajoutée avec de discrets hauts parleurs. Du point de vue mécanique, la voiture ne souffre pas la critique. Le six cylindres en ligne sonne bien et les montées en régime se font franches et linéaires, sans à-coups. Quant à elle, la boîte de vitesses synchronisée est plus facile que les boites Moss équipant les premiers modèles 3.8. Les rapports s’enclenchent avec fermeté mais la commande de boite est précise tout comme la course de l’embrayage qui permet d’utiliser pleinement toute la souplesse et la fougue de ce moteur. Le système de suspension est impeccable, apportant un parfait équilibre à l’ensemble sur routes bosselées comme à vitesses élevées, bien aidée par les quatre freins à disques permettant de ne pas trop se soucier du prochain virage. Cette Jaguar Type E devient une véritable arme lorsque les routes s’ouvrent, le six cylindres profite d’une allonge qui laisserait bon nombre de nos berlines modernes derrière. Au final, c’est un véritable coup de coup de la part de notre équipe tant sur le plan mécanique qu’esthétique. Le cout de la restauration ayant largement dépassé la valeur de l’auto sur le marché, nous ne pouvons qu’alerter les amateurs et intéressées… Cette Type E fait probablement partie des plus beaux exemplaires aujou

Auction archive: Lot number 29
Auction:
Datum:
27 Mar 2022
Auction house:
Aguttes
Aguttes Neuilly
Beschreibung:

Matching Numbers Restauration de qualité Etat de fonctionnement optimal Carte grise française de collection Châssis n° 1E33817 Moteur n° 7E 11061-9 La Jaguar Type E, tout comme la XK qu’elle remplace, va établir une nouvelle référence en matière de voiture de sport. Hormis son moteur qui est une évolution du bloc existant, tout le reste de la voiture est issu d’un développement nouveau. Son design époustouflant tout d’abord est une évolution de la Type D de compétition qui favorise une bonne stabilité et un taux de pénétration dans l’air exceptionnel pour une voiture de série à l’époque. Mais ce qui va faire le succès de la Type E au-delà de son design, ce sont ses performances exceptionnelles pour l’époque lui permettant de rivaliser avec des concurrentes beaucoup plus chères. La première série de Type E débutera sa carrière dotée d’un moteur 3,8 l jusqu’en 1964 puis fin 1965 elle recevra un moteur de 4,2 l développant 265 ch. Disponible d’abord en coupé et en cabriolet, une alternative en 2+2 sera proposée à partir de 1966. La Type E évoluera au fil du temps pour répondre aux exigences commerciales et légales des Etats Unis notamment. Si les premières Jaguar Type E restent aujourd’hui les plus recherchées, c’est qu’elles parviennent à réunir ce qu’il faut d’élégance, de sportivité et de confort dans un segment ou ses concurrentes atteignent des prix largement supérieurs. Parmi celles-ci, la Série 1 4,2 l est de loin la plus performante et facile à prendre en main. Notre exemplaire est un coupé série 1 4,2 l de 1966, dans une très belle combinaison de Gunmetal Grey sur un intérieur bordeaux. Cette configuration fait sans aucun doute partie des plus belles possible sur ce modèle. Le propriétaire actuel achètera son auto en 2018 chez un professionnel de la région parisienne. Déjà à cette époque, une restauration complète et intensive avait été effectuée. L’état de la voiture était parfait et a donc su convaincre ce passionné. La voiture n’a été que peu utilisée depuis. Une facture d’entretien datant de 2020 et s’élevant à plus de 7 000 € témoigne des quelques ajustements ayant été nécessaires après une restauration de ce calibre, avec par exemple la réparation d’une fuite d’essence au réservoir, ou le réglage de l’alignement de la malle arrière. Aujourd’hui, la voiture nous est présentée dans un très bel état de présentation. La peinture est bien tendue, et les alignements sont bons. L’habitacle tout étendu de cuir flatte l’œil au premier regard et l’on remarque immédiatement la présence des magnifiques petits baquets normalement réservés aux Série 1 3.8. Les moquettes, les contre-portes tout comme le ciel de toit ont été changés lors de la restauration de l’ensemble et une radio cachée a été rajoutée avec de discrets hauts parleurs. Du point de vue mécanique, la voiture ne souffre pas la critique. Le six cylindres en ligne sonne bien et les montées en régime se font franches et linéaires, sans à-coups. Quant à elle, la boîte de vitesses synchronisée est plus facile que les boites Moss équipant les premiers modèles 3.8. Les rapports s’enclenchent avec fermeté mais la commande de boite est précise tout comme la course de l’embrayage qui permet d’utiliser pleinement toute la souplesse et la fougue de ce moteur. Le système de suspension est impeccable, apportant un parfait équilibre à l’ensemble sur routes bosselées comme à vitesses élevées, bien aidée par les quatre freins à disques permettant de ne pas trop se soucier du prochain virage. Cette Jaguar Type E devient une véritable arme lorsque les routes s’ouvrent, le six cylindres profite d’une allonge qui laisserait bon nombre de nos berlines modernes derrière. Au final, c’est un véritable coup de coup de la part de notre équipe tant sur le plan mécanique qu’esthétique. Le cout de la restauration ayant largement dépassé la valeur de l’auto sur le marché, nous ne pouvons qu’alerter les amateurs et intéressées… Cette Type E fait probablement partie des plus beaux exemplaires aujou

Auction archive: Lot number 29
Auction:
Datum:
27 Mar 2022
Auction house:
Aguttes
Aguttes Neuilly
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