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Auction archive: Lot number 62

1969 LAMBORGHINI ISLERO S 400 GTS

Estimate
€250,000 - €300,000
ca. US$294,667 - US$353,600
Price realised:
€200,400
ca. US$236,205
Auction archive: Lot number 62

1969 LAMBORGHINI ISLERO S 400 GTS

Estimate
€250,000 - €300,000
ca. US$294,667 - US$353,600
Price realised:
€200,400
ca. US$236,205
Beschreibung:

Numéro de série 6450 Numéro moteur 50147 Numéro de production 25147 Entre les mêmes mains depuis près de vingt ans Restauration carrosserie et mécanique entre 2002 et 2006 Carte grise française La Lamborghini Islero est née du crayon de Ferruccio Lamborghini en personne, afin de remplacer l’élégante Lamborghini 400 GT. La carrosserie façonnée par Mario Marazzi est d’une grande sobriété, fait appel à des lignes tendues mais sensuelles, une silhouette ramassée lui offrant une certaine bestialité. Pourtant, lors de sa présentation en 1968, l’Islero sembla peut-être trop sage face à un catalogue Lamborghini particulièrement déroutant d’un point de vu esthétique. En effet, la Miura était apparue deux ans plutôt, puis le concept Marzal présenté en 1967 offrait elle aussi une vision différente de la carrosserie, qui aboutira sur l’Espada. L’Islero reprenait alors la base mécanique de sa grande sœur 400 GT, comprenant le châssis tubulaire et le V12 à 60° conçu par Bizzarrini. Malgré énormément d’atout sur le marché de la GT d’exception, l’Islero a surtout séduit de discrets hommes d’affaire hésitant entre les DBS, Daytona et autres Ghibli. Au total, seulement 225 exemplaires furent produits, dont 100 modèles S. Véritable routière, elle n’en oublie pas ses origines italiennes avec une puissance de 320 chevaux sur les premiers exemplaires, portée à 350 chevaux sur l’Islero S, le tout à 7 700 tours minutes, un rendement énorme pour un 4 litres ! L’ensemble mécanique permettait ainsi à quatre occupants de voyager à presque 265 kilomètres par heure dans un confort certain, mêlé de cuir, de bois et de velours. Agréable à conduire, l’Islero reste l’un des rares taureaux de Sant’Agata à offrir un maniement accessible, tout du moins pour une GT à moteur V12 à l’avant de l’époque. L’Islero était ainsi une excellente voiture à mi-chemin entre une pure sportive et une GT, c’est probablement pour cela que Paul Rilly et Roger Levève en choisirent une pour participer aux 24H du Mans 1975, une aventure qui s’arrêta aux qualifications suite à un accident. Cette Lamborghini Islero S fut produite en mai 1969 et livrée le 13 juin 1969, en Italie. Il s’agit alors de la 148ème Islero fabriquée. Nous savons qu’elle fut immatriculée à Venise, puis à Trévise. En 1982, elle est entre les mains de Monsieur Riccardo di Bello, toujours à Trévise. C’est auprès de ce même monsieur di Bello qu’elle fut acquise par la famille qui la possède encore à ce jour. Ainsi, en 2002, une restauration débuta, menée par un atelier spécialisé en Italie, l’Officina Salvador Auto à Tiezzo. La carrosserie fut alors mise à nue et la mécanique ouverte pour réfection, tandis que la plupart des périphériques (pompe à eau, alternateur, démarreur étaient remplacés ou rénovés). Ce travail mené entre 2002 et 2006 est ainsi documenté par photos et factures. Depuis lors, l’Islero châssis 6450 fut sortie à de rares occasions et suivie par un mécanicien privé. Aujourd’hui, la Lamborghini présente un très bel état général. La carrosserie restaurée il y a près de quinze ans présente encore très bien, la peinture est bien tendue et les alignements sont bons. La mécanique est en bon état de fonctionnement, le moteur démarre et fonctionne bien, les montées en régime sont franches, les manomètres au tableau de bord indiquent un bon comportement de la mécanique, tant au niveau de la pression d’huile que de la température. L’habitacle fut pour sa part conservé en grande partie d’origine. La sellerie fut traitée afin de conserver la patine du cuir et du velours, les moquettes furent remplacées lors de la restauration. L’ensemble est ainsi dans un état tout à fait cohérent. D’un point de vu électrique, nous avons constaté le bon fonctionnement de l’ensemble des équipements, les phares montent et descendent sans encombre, tout comme les vitres électriques. Le compteur kilométrique affiche 62 500 kilomètres, ce qui, au vu des contrôles technique des dix dernières années, laisse imaginer que le moteur n’a

Auction archive: Lot number 62
Auction:
Datum:
20 Oct 2020
Auction house:
Osenat Maison de vente aux enchères
9-11 rue Royale
77300 Fontainebleau
France
contact@osenat.com
+33 (0)1 64222762
Beschreibung:

Numéro de série 6450 Numéro moteur 50147 Numéro de production 25147 Entre les mêmes mains depuis près de vingt ans Restauration carrosserie et mécanique entre 2002 et 2006 Carte grise française La Lamborghini Islero est née du crayon de Ferruccio Lamborghini en personne, afin de remplacer l’élégante Lamborghini 400 GT. La carrosserie façonnée par Mario Marazzi est d’une grande sobriété, fait appel à des lignes tendues mais sensuelles, une silhouette ramassée lui offrant une certaine bestialité. Pourtant, lors de sa présentation en 1968, l’Islero sembla peut-être trop sage face à un catalogue Lamborghini particulièrement déroutant d’un point de vu esthétique. En effet, la Miura était apparue deux ans plutôt, puis le concept Marzal présenté en 1967 offrait elle aussi une vision différente de la carrosserie, qui aboutira sur l’Espada. L’Islero reprenait alors la base mécanique de sa grande sœur 400 GT, comprenant le châssis tubulaire et le V12 à 60° conçu par Bizzarrini. Malgré énormément d’atout sur le marché de la GT d’exception, l’Islero a surtout séduit de discrets hommes d’affaire hésitant entre les DBS, Daytona et autres Ghibli. Au total, seulement 225 exemplaires furent produits, dont 100 modèles S. Véritable routière, elle n’en oublie pas ses origines italiennes avec une puissance de 320 chevaux sur les premiers exemplaires, portée à 350 chevaux sur l’Islero S, le tout à 7 700 tours minutes, un rendement énorme pour un 4 litres ! L’ensemble mécanique permettait ainsi à quatre occupants de voyager à presque 265 kilomètres par heure dans un confort certain, mêlé de cuir, de bois et de velours. Agréable à conduire, l’Islero reste l’un des rares taureaux de Sant’Agata à offrir un maniement accessible, tout du moins pour une GT à moteur V12 à l’avant de l’époque. L’Islero était ainsi une excellente voiture à mi-chemin entre une pure sportive et une GT, c’est probablement pour cela que Paul Rilly et Roger Levève en choisirent une pour participer aux 24H du Mans 1975, une aventure qui s’arrêta aux qualifications suite à un accident. Cette Lamborghini Islero S fut produite en mai 1969 et livrée le 13 juin 1969, en Italie. Il s’agit alors de la 148ème Islero fabriquée. Nous savons qu’elle fut immatriculée à Venise, puis à Trévise. En 1982, elle est entre les mains de Monsieur Riccardo di Bello, toujours à Trévise. C’est auprès de ce même monsieur di Bello qu’elle fut acquise par la famille qui la possède encore à ce jour. Ainsi, en 2002, une restauration débuta, menée par un atelier spécialisé en Italie, l’Officina Salvador Auto à Tiezzo. La carrosserie fut alors mise à nue et la mécanique ouverte pour réfection, tandis que la plupart des périphériques (pompe à eau, alternateur, démarreur étaient remplacés ou rénovés). Ce travail mené entre 2002 et 2006 est ainsi documenté par photos et factures. Depuis lors, l’Islero châssis 6450 fut sortie à de rares occasions et suivie par un mécanicien privé. Aujourd’hui, la Lamborghini présente un très bel état général. La carrosserie restaurée il y a près de quinze ans présente encore très bien, la peinture est bien tendue et les alignements sont bons. La mécanique est en bon état de fonctionnement, le moteur démarre et fonctionne bien, les montées en régime sont franches, les manomètres au tableau de bord indiquent un bon comportement de la mécanique, tant au niveau de la pression d’huile que de la température. L’habitacle fut pour sa part conservé en grande partie d’origine. La sellerie fut traitée afin de conserver la patine du cuir et du velours, les moquettes furent remplacées lors de la restauration. L’ensemble est ainsi dans un état tout à fait cohérent. D’un point de vu électrique, nous avons constaté le bon fonctionnement de l’ensemble des équipements, les phares montent et descendent sans encombre, tout comme les vitres électriques. Le compteur kilométrique affiche 62 500 kilomètres, ce qui, au vu des contrôles technique des dix dernières années, laisse imaginer que le moteur n’a

Auction archive: Lot number 62
Auction:
Datum:
20 Oct 2020
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Osenat Maison de vente aux enchères
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77300 Fontainebleau
France
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