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Auction archive: Lot number 128

1969 LAMBORGHINI Miura P400 S

Estimate
€700,000 - €1,000,000
ca. US$771,014 - US$1,101,448
Price realised:
n. a.
Auction archive: Lot number 128

1969 LAMBORGHINI Miura P400 S

Estimate
€700,000 - €1,000,000
ca. US$771,014 - US$1,101,448
Price realised:
n. a.
Beschreibung:

Châssis 4332 - Numéro de production 435 Numéro Bertone 535 - Moteur 30443 Livrée neuve par Foitek en Suisse Exemplaire d’une rare authenticité Même propriétaire depuis 38 ans Carte grise française Ainsi nâquit la supercar. C’est à la fin de l’an 1965, au salon de Turin, que la fécondation a lieu entre le fabuleux V12 de 3 929 cc conçu par Giotto Bizzarini et son châssis signé de la patte de Gian Paolo Dallara. D’oreset-déjà, la planète automobile s’étonnait et se questionnait sur les projets de cet homme qui, deux ans seulement auparavant, n’était connu que pour ses tracteurs. C’est au salon de Genève, en mars 1966 que l’enfant chéri de Sant’Agata Bolognese apparut au monde entier. Son architecture révolutionnaire à moteur central arrière était désormais vêtue d’une extraordinaire carrosserie imaginée par le jeune Marcello Gandini officiant pour Bertone. Le résultat était sans pareil, la Miura P400 était née, le principe même de la supercar, lui aussi. Etonnante par ses formes, la Miura affiche une hauteur au toit d’à peine un mètre, le capot avant englobe en un bloc unique, les ailes, les phares basculés à l’horizontale soulignés de cils, et se courbe autour du pare-brise on ne peut plus incliné. La cellule centrale s’entoure de portières rendant hommage par leur forme au taureau de la firme quand le capot arrière dont la cinématique d’ouverture répond à l’avant, se couvre de persiennes et inclut le coffre, lui-même créant la courbure à un becquet surmontant un arrière tronqué souligné par deux sorties d’échappement. Intemporelle. La Miura étonnait, d’autant plus par ses spécificités techniques, la Miura affichait une puissance de 350 chevaux et une vitesse de pointe de 280 kilomètres par heure, du jamais vu pour une voiture destinée à la route. Enfin Ferruccio était pris au sérieux face à l’hégémonie Ferrari. Cela ne suffisait pourtant pas. La Miura allait encore évoluer en 1968 avec l’apparition de la P400 S, le moteur et sa boîte de vitesse à carter commun laissaient désormais passer 370 chevaux au roues Campagnolo en magnesium. En 1971, la Miura évoluait encore pour devenir P400 SV, adoptant alors de nouveaux trains roulants et offrant désormais 385 chevaux. Evoluant tout au long de sa carrière, les dernières Miura iront jusqu’à adopter des carters moteur – boîte séparés, voire une lubrification par carter sec disponible en option. La Miura a marqué l’histoire de l’automobile, de l’ingéniérie et du design, au total, ce sont 764 Miura qui furent produites entre 1966 et 1973, pour tant de propriétaires célèbres et fortunés à l’instar des Johnny Hallyday, Jacques Dutronc, Rod Stewart, Miles Davis ou encore Franck Sinatra qui disait «L’on achète une Ferrari lorsque l’on veut devenir quelqu’un, l’on achète une Lamborghini lorsque l’on est déjà quelqu’un.» . C’est le 26 novembre 1969 que le châssis 4332 fut livré chez Foitek. Il s’agit de la 38ème voiture commandée en 1969 par l’importateur suisse de Lamborghini. C’est une Lamborghini Miura P400 S de première série, numéro de production 435, numéro Bertone 535, équipée du moteur 30443. Peinte en Verde Miura (référence Bertone 2-445-001) et dotée d’un intérieur en skaï noir et tissu beige, elle fut vendue neuve, le 2 décembre 1969, à l’industriel Otto Wild demeurant Banhof Strasse à Muri. Ce dernier a notamment participé aux Mille Miglia 1951 au volant de sa Ferrari 340 America Touring Barchetta châssis 0114A en 1950, celle-ci même avec laquelle il remporta le Concours International d’Elégance Automobile de Lucerne la même année. Un homme de goût. 4332 fut ensuite propriété de Monsieur Faucompré à partir de 1976, c’est par ailleurs dans cette voiture qu’il aurait rencontré sa femme. La voiture apparut en 1979 dans le bulletin n°2 du club Lamborghini de France. Elle fut immatriculée dans les Yvelines en 1980. C’est en 1982 que Monsieur M., le propriétaire actuel de 4332 en fit l’acquisition. Dès 1983, le moteur connut une importante réfection dans les ateliers de Jacques Zuliani

Auction archive: Lot number 128
Auction:
Datum:
27 May 2020
Auction house:
Osenat Maison de vente aux enchères
9-11 rue Royale
77300 Fontainebleau
France
contact@osenat.com
+33 (0)1 64222762
Beschreibung:

Châssis 4332 - Numéro de production 435 Numéro Bertone 535 - Moteur 30443 Livrée neuve par Foitek en Suisse Exemplaire d’une rare authenticité Même propriétaire depuis 38 ans Carte grise française Ainsi nâquit la supercar. C’est à la fin de l’an 1965, au salon de Turin, que la fécondation a lieu entre le fabuleux V12 de 3 929 cc conçu par Giotto Bizzarini et son châssis signé de la patte de Gian Paolo Dallara. D’oreset-déjà, la planète automobile s’étonnait et se questionnait sur les projets de cet homme qui, deux ans seulement auparavant, n’était connu que pour ses tracteurs. C’est au salon de Genève, en mars 1966 que l’enfant chéri de Sant’Agata Bolognese apparut au monde entier. Son architecture révolutionnaire à moteur central arrière était désormais vêtue d’une extraordinaire carrosserie imaginée par le jeune Marcello Gandini officiant pour Bertone. Le résultat était sans pareil, la Miura P400 était née, le principe même de la supercar, lui aussi. Etonnante par ses formes, la Miura affiche une hauteur au toit d’à peine un mètre, le capot avant englobe en un bloc unique, les ailes, les phares basculés à l’horizontale soulignés de cils, et se courbe autour du pare-brise on ne peut plus incliné. La cellule centrale s’entoure de portières rendant hommage par leur forme au taureau de la firme quand le capot arrière dont la cinématique d’ouverture répond à l’avant, se couvre de persiennes et inclut le coffre, lui-même créant la courbure à un becquet surmontant un arrière tronqué souligné par deux sorties d’échappement. Intemporelle. La Miura étonnait, d’autant plus par ses spécificités techniques, la Miura affichait une puissance de 350 chevaux et une vitesse de pointe de 280 kilomètres par heure, du jamais vu pour une voiture destinée à la route. Enfin Ferruccio était pris au sérieux face à l’hégémonie Ferrari. Cela ne suffisait pourtant pas. La Miura allait encore évoluer en 1968 avec l’apparition de la P400 S, le moteur et sa boîte de vitesse à carter commun laissaient désormais passer 370 chevaux au roues Campagnolo en magnesium. En 1971, la Miura évoluait encore pour devenir P400 SV, adoptant alors de nouveaux trains roulants et offrant désormais 385 chevaux. Evoluant tout au long de sa carrière, les dernières Miura iront jusqu’à adopter des carters moteur – boîte séparés, voire une lubrification par carter sec disponible en option. La Miura a marqué l’histoire de l’automobile, de l’ingéniérie et du design, au total, ce sont 764 Miura qui furent produites entre 1966 et 1973, pour tant de propriétaires célèbres et fortunés à l’instar des Johnny Hallyday, Jacques Dutronc, Rod Stewart, Miles Davis ou encore Franck Sinatra qui disait «L’on achète une Ferrari lorsque l’on veut devenir quelqu’un, l’on achète une Lamborghini lorsque l’on est déjà quelqu’un.» . C’est le 26 novembre 1969 que le châssis 4332 fut livré chez Foitek. Il s’agit de la 38ème voiture commandée en 1969 par l’importateur suisse de Lamborghini. C’est une Lamborghini Miura P400 S de première série, numéro de production 435, numéro Bertone 535, équipée du moteur 30443. Peinte en Verde Miura (référence Bertone 2-445-001) et dotée d’un intérieur en skaï noir et tissu beige, elle fut vendue neuve, le 2 décembre 1969, à l’industriel Otto Wild demeurant Banhof Strasse à Muri. Ce dernier a notamment participé aux Mille Miglia 1951 au volant de sa Ferrari 340 America Touring Barchetta châssis 0114A en 1950, celle-ci même avec laquelle il remporta le Concours International d’Elégance Automobile de Lucerne la même année. Un homme de goût. 4332 fut ensuite propriété de Monsieur Faucompré à partir de 1976, c’est par ailleurs dans cette voiture qu’il aurait rencontré sa femme. La voiture apparut en 1979 dans le bulletin n°2 du club Lamborghini de France. Elle fut immatriculée dans les Yvelines en 1980. C’est en 1982 que Monsieur M., le propriétaire actuel de 4332 en fit l’acquisition. Dès 1983, le moteur connut une importante réfection dans les ateliers de Jacques Zuliani

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Datum:
27 May 2020
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9-11 rue Royale
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