3 L.A.S., Paris et Quimper 1928-1930, à Ad. Aynaud à Lille ; 2 pages in-4 avec enveloppes, et 1 page obl. in-12 avec adresse (carte postale). À un collectionneur lillois auquel Jacob vend des gouaches et donne des conseils. [25 mars 1928]. Il est à Paris, « très occupé par mon exposition et autres. Je vais essayer de faire un portrait de moi, mais un dessin agrandi par projection me semble devoir être un ratage ». Il conseille de s'adresser au photographe Martinie, ou encore « au graveur Soulas [...] qui vient de faire un cliché gravure sur bois, de moi lequel a paru aux Nouvelles Littéraires. J'ai fait tout le possible et l'impossible pour Leonardi. C'est un maudit » [Aynaud était un des clients du céramiste sicilien Giovanni Leonardi (1876-1957), installé à Quimper grâce à Max Jacob et travaillant pour les faïenceries Henriot]... Quimper 1er janvier 1930. « Parmi les contrariétés que j'ai accumulées depuis cet accident, je considère comme douloureuse celle d'avoir manqué de vous voir enfin. Hélas ! J'étais bien mal et on n'a pas pu vous faire monter ! Que j'en ai été malheureux ! Je le suis encore ». Il lui envoie « les souhaits d'un vieil infirme. Je suis définitivement boiteux ! Que Dieu vous donne tout ce que vous désirez et que vous méritez si bien »... Quimper 13 janvier 1930.Il serait ravi de faire plaisir à son éditeur et à Leonardi, qui serait l'illustrateur d'un projet : « Le Cornet à Dés m'appartient en toute propriété. Crès pour rééditer La Côte qui m'appartient m'a donné 5000 F. Je ne voudrais pas créer un précédent en demandant beaucoup moins à votre éditeur. On pourrait s'en targuer »... On joint un télégramme, accusant réception de mille francs.
3 L.A.S., Paris et Quimper 1928-1930, à Ad. Aynaud à Lille ; 2 pages in-4 avec enveloppes, et 1 page obl. in-12 avec adresse (carte postale). À un collectionneur lillois auquel Jacob vend des gouaches et donne des conseils. [25 mars 1928]. Il est à Paris, « très occupé par mon exposition et autres. Je vais essayer de faire un portrait de moi, mais un dessin agrandi par projection me semble devoir être un ratage ». Il conseille de s'adresser au photographe Martinie, ou encore « au graveur Soulas [...] qui vient de faire un cliché gravure sur bois, de moi lequel a paru aux Nouvelles Littéraires. J'ai fait tout le possible et l'impossible pour Leonardi. C'est un maudit » [Aynaud était un des clients du céramiste sicilien Giovanni Leonardi (1876-1957), installé à Quimper grâce à Max Jacob et travaillant pour les faïenceries Henriot]... Quimper 1er janvier 1930. « Parmi les contrariétés que j'ai accumulées depuis cet accident, je considère comme douloureuse celle d'avoir manqué de vous voir enfin. Hélas ! J'étais bien mal et on n'a pas pu vous faire monter ! Que j'en ai été malheureux ! Je le suis encore ». Il lui envoie « les souhaits d'un vieil infirme. Je suis définitivement boiteux ! Que Dieu vous donne tout ce que vous désirez et que vous méritez si bien »... Quimper 13 janvier 1930.Il serait ravi de faire plaisir à son éditeur et à Leonardi, qui serait l'illustrateur d'un projet : « Le Cornet à Dés m'appartient en toute propriété. Crès pour rééditer La Côte qui m'appartient m'a donné 5000 F. Je ne voudrais pas créer un précédent en demandant beaucoup moins à votre éditeur. On pourrait s'en targuer »... On joint un télégramme, accusant réception de mille francs.
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