Alchimie - Manuscrit XVIIe s. Le Grand Œuvre ou Principes de la filosophie hermetique tirée de Raymond Lulle. sl, sd. In-4 de [5] ff., 144 pp. ([2] ff.n. ch. entre les pp. 34-35, une demi-page ajoutée après la p. 115, [1] f. dépliant entre les pp. 125-126), ff.145-150, pp.151-152, ff.154-165, [3] ff., [3] ff. Manuscrit entièrement rédigé en français vers la fin du XVIIe siècle ou début du XVIIIe s. Le manuscrit comporte plusieurs notes ou ajouts d'une autre main parfois en marges ou fin de page et sur 12 feuillets placés au début et à la fin du volume et entre certaines pages (cf. collation ci-dessus). Veau brun, dos à nerfs muet (reliure de l'époque). Epidermures. Ce traité est une adaptation en français des œuvres hermétiques du grand alchimiste Raymond Lulle dont il n'existait, jusqu'à très récemment, pas de traduction complète en notre langue. L'auteur de ce travail expose les procédés de la chrysopée. Il enseigne la calcination secrète des sept métaux pour en extraire la quintessence, et indique les procédés permettant d'arriver à l'élixir, à la poudre de projection, à la médecine universelle. Ce manuscrit se termine par 16 canons ou règles enseignant l'application de l'or potable en panacée guérissant toutes les maladies qui affligent l'humanité. Un canon spécial est même consacré à la guérison des démoniaques. D'autres encore sont destinés à éviter l'empêchement du sommeil, à ressusciter les morts, à la cure des lépreux, à guérir la paralysie, ceux qui sont empoisonnés par la boisson (en utilisant de la corne de licorne "si l'on peut en avoir"), ou contre les différentes fièvres… Le manuscrit est adressé dans ses différentes parties à "Madame Votre Royale Majesté" et une de ses adresses est signée Bernard de La Badie. Intéressante provenance : Ex-libris du Docteur LUCIEN-GRAUX.
Alchimie - Manuscrit XVIIe s. Le Grand Œuvre ou Principes de la filosophie hermetique tirée de Raymond Lulle. sl, sd. In-4 de [5] ff., 144 pp. ([2] ff.n. ch. entre les pp. 34-35, une demi-page ajoutée après la p. 115, [1] f. dépliant entre les pp. 125-126), ff.145-150, pp.151-152, ff.154-165, [3] ff., [3] ff. Manuscrit entièrement rédigé en français vers la fin du XVIIe siècle ou début du XVIIIe s. Le manuscrit comporte plusieurs notes ou ajouts d'une autre main parfois en marges ou fin de page et sur 12 feuillets placés au début et à la fin du volume et entre certaines pages (cf. collation ci-dessus). Veau brun, dos à nerfs muet (reliure de l'époque). Epidermures. Ce traité est une adaptation en français des œuvres hermétiques du grand alchimiste Raymond Lulle dont il n'existait, jusqu'à très récemment, pas de traduction complète en notre langue. L'auteur de ce travail expose les procédés de la chrysopée. Il enseigne la calcination secrète des sept métaux pour en extraire la quintessence, et indique les procédés permettant d'arriver à l'élixir, à la poudre de projection, à la médecine universelle. Ce manuscrit se termine par 16 canons ou règles enseignant l'application de l'or potable en panacée guérissant toutes les maladies qui affligent l'humanité. Un canon spécial est même consacré à la guérison des démoniaques. D'autres encore sont destinés à éviter l'empêchement du sommeil, à ressusciter les morts, à la cure des lépreux, à guérir la paralysie, ceux qui sont empoisonnés par la boisson (en utilisant de la corne de licorne "si l'on peut en avoir"), ou contre les différentes fièvres… Le manuscrit est adressé dans ses différentes parties à "Madame Votre Royale Majesté" et une de ses adresses est signée Bernard de La Badie. Intéressante provenance : Ex-libris du Docteur LUCIEN-GRAUX.
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