Lettre autographe signée. 7 juin 1886; 2 pages in-8°, à l'encre rouge, traces de papier collé. «Vous n'êtes pas de ceux qu'on puisse oublier. Vous avez publié dans le Moniteur universel un article sur les Juges jugés que je n'ai pas pu lire lors de sa publication faite pendant une de mes longues absences de Paris, mais que mes amis m'ont fait lire à mon retour [...] Et comme on n'en a jamais fini avec ceux qu'a mordu l'affreuse rage d'écrire, je vous adresse un autre livre, souhaitant pour lui les bonnes grâces que vous avez eu pour le premier. Agréez, Monsieur, avec mes remerciements passés et futurs, l'assurance de la plus haute considération intellectuelle et morale, et permettez-moi de m'appeler dans toute l'étendue du mon, votre serviteur, J. Barbey d'Aurevilly.»
Lettre autographe signée. 7 juin 1886; 2 pages in-8°, à l'encre rouge, traces de papier collé. «Vous n'êtes pas de ceux qu'on puisse oublier. Vous avez publié dans le Moniteur universel un article sur les Juges jugés que je n'ai pas pu lire lors de sa publication faite pendant une de mes longues absences de Paris, mais que mes amis m'ont fait lire à mon retour [...] Et comme on n'en a jamais fini avec ceux qu'a mordu l'affreuse rage d'écrire, je vous adresse un autre livre, souhaitant pour lui les bonnes grâces que vous avez eu pour le premier. Agréez, Monsieur, avec mes remerciements passés et futurs, l'assurance de la plus haute considération intellectuelle et morale, et permettez-moi de m'appeler dans toute l'étendue du mon, votre serviteur, J. Barbey d'Aurevilly.»
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