Correspondance avec sa famille et plusieurs de ses amis pendant son voyage dans l'Inde (1828-1832). Paris, Fournier, 1835 - Correspondance inédite avec sa famille et ses amis (1814-1832) précédée d'une notice biographique par Jacquemont, neveu, et d'une introduction par P. Mérimée. Paris, Michel Lévy, 1867. Ensemble quatre volumes in-8 d'un portrait, (4), 434, (1) pp. ; (4), 417 pp., une carte dépliante de l'Inde ; (4), XVI, 390 pp. ; (4), 384 pp., reliures de l'époque en demi-veau fauve, dos ornés, tranches marbrées. Seconde édition de la Correspondance, d'abord publiée en 1833, et édition originale de la Correspondance inédite. Le portrait lithographié de Victor Jacquemont qui figure ici en tête de la Correspondance ne se trouve que dans cette rare seconde édition, restée inconnue à Vicaire. Jeune botaniste de talent promis à une brillante carrière, Victor Jacquemont décida de voyager, à la suite d'une déception sentimentale. Après plusieurs mois passés aux Etats- Unis, il se rendit à Haïti chez son frère, consul de France, où il reçut la proposition d'une mission d'exploration scientifique en Inde pour le compte du Muséum d'histoire naturelle. Après des escales à Rio de Janeiro et au Cap, il parvint à Calcutta en 1829, visita toutes les grandes villes du pays, puis, franchissant l'Himalaya, pénétra au Tibet, d'où il ramena une importante collection de spécimens d'histoire naturelle. Il put ensuite se rendre à Lachore et au Cachemire, mais, malade et très affaibli par un voyage épuisant, il mourut peu de temps après son retour à Bombay, en décembre 1832. Ami de Stendhal et de Mérimée, Victor Jacquemont, considéré avec Humboldt comme l'un des fondateurs de la biogéographie, possédait un réel talent d'écrivain, qui s'exprime dans cette correspondance. La relation de son voyage fut publiée par Geoffroy St Hilaire et Cambacedes sous les auspices de Guizot entre 1841 et 1844. Très bel et rare exemplaire réunissant la Correspondance et la Correspondance inédite, publiées à trente ans d'intervalle, en jolies reliures uniformes, les deux derniers volumes ayant été reliés à leur parution à l'imitation des premiers (légères variantes dans les fers employés). Infimes traces de frottement aux dos des volumes ; rares rousseurs éparses. Vicaire, IV, 511.
Correspondance avec sa famille et plusieurs de ses amis pendant son voyage dans l'Inde (1828-1832). Paris, Fournier, 1835 - Correspondance inédite avec sa famille et ses amis (1814-1832) précédée d'une notice biographique par Jacquemont, neveu, et d'une introduction par P. Mérimée. Paris, Michel Lévy, 1867. Ensemble quatre volumes in-8 d'un portrait, (4), 434, (1) pp. ; (4), 417 pp., une carte dépliante de l'Inde ; (4), XVI, 390 pp. ; (4), 384 pp., reliures de l'époque en demi-veau fauve, dos ornés, tranches marbrées. Seconde édition de la Correspondance, d'abord publiée en 1833, et édition originale de la Correspondance inédite. Le portrait lithographié de Victor Jacquemont qui figure ici en tête de la Correspondance ne se trouve que dans cette rare seconde édition, restée inconnue à Vicaire. Jeune botaniste de talent promis à une brillante carrière, Victor Jacquemont décida de voyager, à la suite d'une déception sentimentale. Après plusieurs mois passés aux Etats- Unis, il se rendit à Haïti chez son frère, consul de France, où il reçut la proposition d'une mission d'exploration scientifique en Inde pour le compte du Muséum d'histoire naturelle. Après des escales à Rio de Janeiro et au Cap, il parvint à Calcutta en 1829, visita toutes les grandes villes du pays, puis, franchissant l'Himalaya, pénétra au Tibet, d'où il ramena une importante collection de spécimens d'histoire naturelle. Il put ensuite se rendre à Lachore et au Cachemire, mais, malade et très affaibli par un voyage épuisant, il mourut peu de temps après son retour à Bombay, en décembre 1832. Ami de Stendhal et de Mérimée, Victor Jacquemont, considéré avec Humboldt comme l'un des fondateurs de la biogéographie, possédait un réel talent d'écrivain, qui s'exprime dans cette correspondance. La relation de son voyage fut publiée par Geoffroy St Hilaire et Cambacedes sous les auspices de Guizot entre 1841 et 1844. Très bel et rare exemplaire réunissant la Correspondance et la Correspondance inédite, publiées à trente ans d'intervalle, en jolies reliures uniformes, les deux derniers volumes ayant été reliés à leur parution à l'imitation des premiers (légères variantes dans les fers employés). Infimes traces de frottement aux dos des volumes ; rares rousseurs éparses. Vicaire, IV, 511.
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