Correspondance reçue d'environ 30 lettres et pièces. 1799-1805. correspondance concernant principaleMent son serVice en italie. Originaire de Saint-Sauveur-le-Vicomte dans la Manche, Louis-Auguste-François Mariage dit Mériage (1767-1827) entra dans l'armée en 1792, et servit en Vendée où il devint adjudant-général pour le général Hoche puis aide de camp du général Avril. Il y acquit les galons de capitaine puis de chef d'escadron, et fut versé successivement dans l'armée de Réserve (mars 1800), l'armée des Grisons (octobre 1800), l'armée d'Italie (en poste à Mondovi et Cuneo), l'armée d'Observation du Midi (avril 1801), avant d'être attaché à l'état- major de la division Vandamme à Saint-Omer (1803). - aMeil (Auguste). Lettre autographe signée [à Mériage]. Armée de Hanovre, 13 nivôse an XII [4 janvier 1804]. Le futur général demande une intercession pour son avancement. - aVril (Jean-Jacques). Lettre autographe signée à Mériage. Caen, 15 frimaire an VIII [6 décembre 1799] : « Je vous préviens... qu'il circule ici que je suis destitué... ici GénéraLement, La révoLution du 18 [bruMaire, coup d'état de bonaparte] fut maL vue et maL accueiLLie, je fus Le seuL à montrer qu'eLLe me pLaisoit... De là mille propos qui ne tendoient qu'à troubler la tranquilité et que je sus maintenir en dépit des factieux... ». Mériage était alors aide-de-camp du général Avril. - bertrand (Henri-Gatien). Lettre autographe signée à Mériage. Boulogne, 15 messidor an XII [4 juillet 1804]. Le général Bertrand, futur compagnon de Napoléon Ier à Sainte-Hélène, reporte une invitation. - colli-ricci (Louis Léonard Antoine Joseph Gaspard Venance de). Lettre autographe signée à Mériage. Turin, 11 brumaire an X [2 novembre 1801]. Le général Colli, alors chef de l'état-major du Piémont, demande de faire venir la voiture du général Soult à Cuneo. - coMpans (Jean-dominique). Lettre autographe signée. Cuneo, 30 pluviôse an X [19 février 1802]. Le général Compans, commandant alors la province de Cuneo, lui demande un service pour ses aides de camp. - loison (Louis-Henry). Lettre signée à Mériage. Paris, 10 ventôse an XIII [1er mars 1805]. Lettre amicale du général Loison, aors gouverneur du palais de Saint-Cloud. - Vignolle (Martin). Lettre autographe signée à Mériage. Milan, 25 floréal an X [15 mai 1802]. Lettre relative à des questions de finances publiques. Le général Vignolle était alors commandant du département du Serio (Bergame) et était chargé de réorganiser les troupes dans la République cisalpine. Joint, un placard iMpriMé, proclamation de l'adjudant-commandant Mériage aux commissaire du Gouvernement des provinces de Mondovi et Cuneo (Cuneo, 13 frimaire an IX - 14 décembre 1800) : « Cittadini [...] È accordato un perdono generale a tutti coloro, che sono stati fino a questo momento riuniti ed armati [...]. Saranno formate nelle provincie di Mondovi, e Cuneo due compagnie di Cacciatori [...]. L'adunanza di queste compagnie si farà in Cuneo, ed il metodo di loro organizzazione sarà immantinenti determinato dal luogotenente generale Soult [...] » (Mondovi, nella stamperia di Gianandrea e figli Rossi, 1800, une p. grand in-folio).
Correspondance reçue d'environ 30 lettres et pièces. 1799-1805. correspondance concernant principaleMent son serVice en italie. Originaire de Saint-Sauveur-le-Vicomte dans la Manche, Louis-Auguste-François Mariage dit Mériage (1767-1827) entra dans l'armée en 1792, et servit en Vendée où il devint adjudant-général pour le général Hoche puis aide de camp du général Avril. Il y acquit les galons de capitaine puis de chef d'escadron, et fut versé successivement dans l'armée de Réserve (mars 1800), l'armée des Grisons (octobre 1800), l'armée d'Italie (en poste à Mondovi et Cuneo), l'armée d'Observation du Midi (avril 1801), avant d'être attaché à l'état- major de la division Vandamme à Saint-Omer (1803). - aMeil (Auguste). Lettre autographe signée [à Mériage]. Armée de Hanovre, 13 nivôse an XII [4 janvier 1804]. Le futur général demande une intercession pour son avancement. - aVril (Jean-Jacques). Lettre autographe signée à Mériage. Caen, 15 frimaire an VIII [6 décembre 1799] : « Je vous préviens... qu'il circule ici que je suis destitué... ici GénéraLement, La révoLution du 18 [bruMaire, coup d'état de bonaparte] fut maL vue et maL accueiLLie, je fus Le seuL à montrer qu'eLLe me pLaisoit... De là mille propos qui ne tendoient qu'à troubler la tranquilité et que je sus maintenir en dépit des factieux... ». Mériage était alors aide-de-camp du général Avril. - bertrand (Henri-Gatien). Lettre autographe signée à Mériage. Boulogne, 15 messidor an XII [4 juillet 1804]. Le général Bertrand, futur compagnon de Napoléon Ier à Sainte-Hélène, reporte une invitation. - colli-ricci (Louis Léonard Antoine Joseph Gaspard Venance de). Lettre autographe signée à Mériage. Turin, 11 brumaire an X [2 novembre 1801]. Le général Colli, alors chef de l'état-major du Piémont, demande de faire venir la voiture du général Soult à Cuneo. - coMpans (Jean-dominique). Lettre autographe signée. Cuneo, 30 pluviôse an X [19 février 1802]. Le général Compans, commandant alors la province de Cuneo, lui demande un service pour ses aides de camp. - loison (Louis-Henry). Lettre signée à Mériage. Paris, 10 ventôse an XIII [1er mars 1805]. Lettre amicale du général Loison, aors gouverneur du palais de Saint-Cloud. - Vignolle (Martin). Lettre autographe signée à Mériage. Milan, 25 floréal an X [15 mai 1802]. Lettre relative à des questions de finances publiques. Le général Vignolle était alors commandant du département du Serio (Bergame) et était chargé de réorganiser les troupes dans la République cisalpine. Joint, un placard iMpriMé, proclamation de l'adjudant-commandant Mériage aux commissaire du Gouvernement des provinces de Mondovi et Cuneo (Cuneo, 13 frimaire an IX - 14 décembre 1800) : « Cittadini [...] È accordato un perdono generale a tutti coloro, che sono stati fino a questo momento riuniti ed armati [...]. Saranno formate nelle provincie di Mondovi, e Cuneo due compagnie di Cacciatori [...]. L'adunanza di queste compagnie si farà in Cuneo, ed il metodo di loro organizzazione sarà immantinenti determinato dal luogotenente generale Soult [...] » (Mondovi, nella stamperia di Gianandrea e figli Rossi, 1800, une p. grand in-folio).
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