Correspondance à Paul Souday. 1913-1928. 9 l.a.s. et 1 l.a., 2 minutes de lettres de Paul Souday à Gide; montées sur onglet, reliées en un vol. grand in-4 plein maroquin bleu nuit, dos à nerfs avec titre doré, coupes filetées, encadrement int. de maroquin bleu avec filets dorés, sous étui bordé (reliure René Aussourd). Belle correspondance littéraire au critique et essayiste Paul Souday (1869-1929) qui fut un proche ami de Gide, avec Martin du Gard, Paul Valéry et Proust dont il fit une biographie, ensemble relié dans une élégante reliure. Discussions autour des grands écrivains classiques Balzac, Diderot, Voltaire, évoquant l'atelier Degas, etc. Collection à laquelle est joint une remarquable correspondance littéraire de Gide à divers: - à Henri Albert, traducteur de Nietzsche (4 septembre 1896, 4 pp. sur sa contribution à la revue littéraire Le Centaure). - à Renée Allegret, femme du cinéaste Yves Allegret (1935 et avril 1942, 2 cartes et l.a.s., dont évoquant un séjour auprès de Jean Giono). - Brouillon autographe à Charles Audran directeur de l'Institut Fénelon où la fille de Gide fut un temps, placée (janvier 1941, 4 pp. sur l'instruction religieuse de sa fille Catherine). - au romancier Henri Bachelin (1942, 3 pp.). - à Pierre Capdevielle, instigateur des Cahiers du plateau (2 l.a.s. Nice, octobre 1941, et Alger, 2 pp.). - à Jean Cassou, sur Tolstoï, après la lecture de Grandeurs et infamies que Cassou venait de faire paraître. (Cuverville, juin 1932, 2 pp. in-4). - à Henri Davray, traducteur de Oscar Wilde et H. G. Wells (5 l.a.s., 1900-1909, env. 10 pp., relative notamment à La Porte étroite). - à Raymond de Becker, intellectuel belge influent des années 1930 (Cuverville, janvier 1934, 2 pp.). - au critique belge Henry Dommartin (Nice, décembre 1939, 2 pp., sur l'identité homosexuelle et sur sa place centrale dans l'oeuvre de Gide). - au critique littéraire Charles du Bos (2 l.a.s., Cuverville, 1921, 3 pp., sur la critique par du Bos de La Symphonie pastorale, & relative à Jacques Raverat un des inspirateurs des Faux-monnayeurs). - à Edouard Ducoté, directeur de la revue L'Ermitage (2 l.a.s. printemps 1900, 6 pp. in-12). - à Rémi de Gourmont, écrivain symboliste (circa 1896, 3 pp.). - à l'essayiste Jean Guéhénno, (janvier 1947, 2 pp.). - à Richard Heyd, directeur des éditions Ides et Calandes, 2 l.a.s. 5 pp. ½ tapuscrit et 2 pp.). - à Francis Jammes, (2 l.a.s. Cuverville, octobre 1903 et oct. 1905, 7 pp., Comment peux-tu croire que je n'aime pas Gauguin!(...). - à Maria et Geneviève Mallarmé, femme et fille du poète (1 p.). - à l'écrivain Henri Massis (4 l.a.s. ou l.t.s., 1924-1934, 8 pp., auquel est joint un brouillon autographe, 4 pp.; importante correspondance dans laquelle Gide explicite ses principaux ouvrages, et contre la probité intellectuelle de Massis). - à Catulle Mendès, l'un des fondateurs du Parnasse (mai 1901, 2 pp ½). - à Eugène Rouart, confident au rôle majeur dans la première moitié de la vie de Gide, 1900-1931, (7 l.a.s., env. 20 pp.). - à Jean Royère poète symboliste (c.1908, 1 p. ½). - à Alfred Vallette, directeur du Mercure de France (2 pp. in-8). - au poète belge Henri Vandeputte (c. 1896). L'on joint 5 lettres autographes signées d'André Gide à divers.
Correspondance à Paul Souday. 1913-1928. 9 l.a.s. et 1 l.a., 2 minutes de lettres de Paul Souday à Gide; montées sur onglet, reliées en un vol. grand in-4 plein maroquin bleu nuit, dos à nerfs avec titre doré, coupes filetées, encadrement int. de maroquin bleu avec filets dorés, sous étui bordé (reliure René Aussourd). Belle correspondance littéraire au critique et essayiste Paul Souday (1869-1929) qui fut un proche ami de Gide, avec Martin du Gard, Paul Valéry et Proust dont il fit une biographie, ensemble relié dans une élégante reliure. Discussions autour des grands écrivains classiques Balzac, Diderot, Voltaire, évoquant l'atelier Degas, etc. Collection à laquelle est joint une remarquable correspondance littéraire de Gide à divers: - à Henri Albert, traducteur de Nietzsche (4 septembre 1896, 4 pp. sur sa contribution à la revue littéraire Le Centaure). - à Renée Allegret, femme du cinéaste Yves Allegret (1935 et avril 1942, 2 cartes et l.a.s., dont évoquant un séjour auprès de Jean Giono). - Brouillon autographe à Charles Audran directeur de l'Institut Fénelon où la fille de Gide fut un temps, placée (janvier 1941, 4 pp. sur l'instruction religieuse de sa fille Catherine). - au romancier Henri Bachelin (1942, 3 pp.). - à Pierre Capdevielle, instigateur des Cahiers du plateau (2 l.a.s. Nice, octobre 1941, et Alger, 2 pp.). - à Jean Cassou, sur Tolstoï, après la lecture de Grandeurs et infamies que Cassou venait de faire paraître. (Cuverville, juin 1932, 2 pp. in-4). - à Henri Davray, traducteur de Oscar Wilde et H. G. Wells (5 l.a.s., 1900-1909, env. 10 pp., relative notamment à La Porte étroite). - à Raymond de Becker, intellectuel belge influent des années 1930 (Cuverville, janvier 1934, 2 pp.). - au critique belge Henry Dommartin (Nice, décembre 1939, 2 pp., sur l'identité homosexuelle et sur sa place centrale dans l'oeuvre de Gide). - au critique littéraire Charles du Bos (2 l.a.s., Cuverville, 1921, 3 pp., sur la critique par du Bos de La Symphonie pastorale, & relative à Jacques Raverat un des inspirateurs des Faux-monnayeurs). - à Edouard Ducoté, directeur de la revue L'Ermitage (2 l.a.s. printemps 1900, 6 pp. in-12). - à Rémi de Gourmont, écrivain symboliste (circa 1896, 3 pp.). - à l'essayiste Jean Guéhénno, (janvier 1947, 2 pp.). - à Richard Heyd, directeur des éditions Ides et Calandes, 2 l.a.s. 5 pp. ½ tapuscrit et 2 pp.). - à Francis Jammes, (2 l.a.s. Cuverville, octobre 1903 et oct. 1905, 7 pp., Comment peux-tu croire que je n'aime pas Gauguin!(...). - à Maria et Geneviève Mallarmé, femme et fille du poète (1 p.). - à l'écrivain Henri Massis (4 l.a.s. ou l.t.s., 1924-1934, 8 pp., auquel est joint un brouillon autographe, 4 pp.; importante correspondance dans laquelle Gide explicite ses principaux ouvrages, et contre la probité intellectuelle de Massis). - à Catulle Mendès, l'un des fondateurs du Parnasse (mai 1901, 2 pp ½). - à Eugène Rouart, confident au rôle majeur dans la première moitié de la vie de Gide, 1900-1931, (7 l.a.s., env. 20 pp.). - à Jean Royère poète symboliste (c.1908, 1 p. ½). - à Alfred Vallette, directeur du Mercure de France (2 pp. in-8). - au poète belge Henri Vandeputte (c. 1896). L'on joint 5 lettres autographes signées d'André Gide à divers.
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