GUIMBAUD (Louis). Victor Hugo et Juliette Drouet. Paris, Auguste Blaizot, 1914. In-8, maroquin bleu à filets dorés, doublé de maroquin grenat, dos à 4 nerfs, tranches dorées (Ch. Septier). Édition originale. Un des 100 exemplaires sur vélin d’Arches avec les portraits de J. Pradier, V. Hugo et J. Drouet en double état. Il est enrichi : D’un dessin de Victor Hugo à la mine de plomb représentant une ville italienne surmontée d’une forteresse, portant l’inscription « Rhone Crucia » ( ?) et le cachet de l’Invre SSon V. Hugo par Me Gatine, Nre, paraphé (155 x 250 mm. pliures, trou). D’une L.A.S. de Juliette Drouet à Victor Hugo (4 pp. 210 X 130 mm.) signée du 12 Xbre [1841], dimanche soir à 11 heures. Lettre très typique dans laquelle J. Drouet montre son amour intense et son anxiété jalouse « Je suis seule mon Toto » …« J’étais si triste de ton absence, si préoccupée de ton air rayonnant, de ta toilette soignée, du peu d’amour, je dirai même de pas du tout d’amour, que tu m’as montré »… « Je donnerais un de mes doigts et la main toute entière pour voir à l’heure qu’il est dans ta pensée et dans ton cœur »…« Est-ce que tu as eu quelque duchesse à trousser (je voulais dire visiter), c’est synonime ? ». D’une L.A.S de Claire Pradier à sa mère (Juliette Drouet) sur papier dentelle (2 pp. 110 x 90 mm – manques de dentelle). Ex-libris P. Voûte. Dos frotté. Expert pour le dessin : M. Patrick de Bayser.
GUIMBAUD (Louis). Victor Hugo et Juliette Drouet. Paris, Auguste Blaizot, 1914. In-8, maroquin bleu à filets dorés, doublé de maroquin grenat, dos à 4 nerfs, tranches dorées (Ch. Septier). Édition originale. Un des 100 exemplaires sur vélin d’Arches avec les portraits de J. Pradier, V. Hugo et J. Drouet en double état. Il est enrichi : D’un dessin de Victor Hugo à la mine de plomb représentant une ville italienne surmontée d’une forteresse, portant l’inscription « Rhone Crucia » ( ?) et le cachet de l’Invre SSon V. Hugo par Me Gatine, Nre, paraphé (155 x 250 mm. pliures, trou). D’une L.A.S. de Juliette Drouet à Victor Hugo (4 pp. 210 X 130 mm.) signée du 12 Xbre [1841], dimanche soir à 11 heures. Lettre très typique dans laquelle J. Drouet montre son amour intense et son anxiété jalouse « Je suis seule mon Toto » …« J’étais si triste de ton absence, si préoccupée de ton air rayonnant, de ta toilette soignée, du peu d’amour, je dirai même de pas du tout d’amour, que tu m’as montré »… « Je donnerais un de mes doigts et la main toute entière pour voir à l’heure qu’il est dans ta pensée et dans ton cœur »…« Est-ce que tu as eu quelque duchesse à trousser (je voulais dire visiter), c’est synonime ? ». D’une L.A.S de Claire Pradier à sa mère (Juliette Drouet) sur papier dentelle (2 pp. 110 x 90 mm – manques de dentelle). Ex-libris P. Voûte. Dos frotté. Expert pour le dessin : M. Patrick de Bayser.
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