Gustave BOURDIN (1820-1870) Panthéon Nadar 193 Dessin au fusain et à l'estompe rehaussé de gouache, signé de l'initiale en bas à gauche et numéroté 116 en bas vers la droite. 23,5 x 15,5 cm (BN Na 88 Boîte 5) Critique littéraire, rédacteur en chef du Figaro. Il dénonce dans un article du Figaro du 5 Juillet 1857, la parution des Fleurs du Mal : "Il y a des moments où l'on doute de l'état mental de M. Baudelaire, il y a des moments où l'on ne doute plus ; c'est la plupart du temps, la répétition monotone et préméditée des mêmes choses, des mêmes pensées. L'odieux y coudoie l'ignoble ; le repoussant s'y allie à l'infect... Ce livre est un hôpital ouvert à toutes les démences de l'esprit". Estimation
Gustave BOURDIN (1820-1870) Panthéon Nadar 193 Dessin au fusain et à l'estompe rehaussé de gouache, signé de l'initiale en bas à gauche et numéroté 116 en bas vers la droite. 23,5 x 15,5 cm (BN Na 88 Boîte 5) Critique littéraire, rédacteur en chef du Figaro. Il dénonce dans un article du Figaro du 5 Juillet 1857, la parution des Fleurs du Mal : "Il y a des moments où l'on doute de l'état mental de M. Baudelaire, il y a des moments où l'on ne doute plus ; c'est la plupart du temps, la répétition monotone et préméditée des mêmes choses, des mêmes pensées. L'odieux y coudoie l'ignoble ; le repoussant s'y allie à l'infect... Ce livre est un hôpital ouvert à toutes les démences de l'esprit". Estimation
Try LotSearch and its premium features for 7 days - without any costs!
Be notified automatically about new items in upcoming auctions.
Create an alert