HEREDIA José-Maria de Réunion de deux lettres autographes signées à Paul Meurice. Paris, 24 février, 8 mai 1902 ; 2 et 2 p. in-8 à en-tête de la Bibliothèque de l’Arsenal. 1. Remerciements pour l’envoi du livre du Centenaire de Victor Hugo « admirable gerbe du poète incomparable ». Il a « vu sortir de l’ombre un effrayant sourire… fait pour effrayer à jamais les poètes » (il mourra en 1905). Il sollicite l’envoi d’un souvenir de V. Hugo « un bout de papier avec quelques vers… ce serait pour moi une grande joie que de pouvoir faire encadrer un si illustre autographe ». Il a accepté la présidence de l’Association des Etudiants pour l’une des cérémonies du Centenaire, « quelque mince que soit son talent auprès du génie de V. Hugo ». 2. Il remercie du magnifique présent : « il me vient par vous de Victor Hugo à qui je n’aurais jamais osé demander un pareil autographe ». Il envoie à Blémont une trentaine de vers à la gloire de V. Hugo qu’il aurait déjà achevée s’il n’avait eu à composer un discours pour la réception de M. de Voguë, « oeuvre aussi inutile que fastidieuse ».
HEREDIA José-Maria de Réunion de deux lettres autographes signées à Paul Meurice. Paris, 24 février, 8 mai 1902 ; 2 et 2 p. in-8 à en-tête de la Bibliothèque de l’Arsenal. 1. Remerciements pour l’envoi du livre du Centenaire de Victor Hugo « admirable gerbe du poète incomparable ». Il a « vu sortir de l’ombre un effrayant sourire… fait pour effrayer à jamais les poètes » (il mourra en 1905). Il sollicite l’envoi d’un souvenir de V. Hugo « un bout de papier avec quelques vers… ce serait pour moi une grande joie que de pouvoir faire encadrer un si illustre autographe ». Il a accepté la présidence de l’Association des Etudiants pour l’une des cérémonies du Centenaire, « quelque mince que soit son talent auprès du génie de V. Hugo ». 2. Il remercie du magnifique présent : « il me vient par vous de Victor Hugo à qui je n’aurais jamais osé demander un pareil autographe ». Il envoie à Blémont une trentaine de vers à la gloire de V. Hugo qu’il aurait déjà achevée s’il n’avait eu à composer un discours pour la réception de M. de Voguë, « oeuvre aussi inutile que fastidieuse ».
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