HUGO (Victor). L.A.S. "Victor Hugo", Hauteville House [Guernesey], 24 juillet 1862 : "Monsieur, M. le rédacteur en chef de La Presse [quotidien français lancé en 1836 par Émile de Girardin] m'a transmis une lettre que vous lui avez écrite à l'occasion des Misérables. A quel point cette lettre m'a ému, je renonce à vous le dire. J'y ai receonnu l'affinité, précieuse pour moi, en votre âme avec la mienne. Ce qu'il y a dans cette lettre, ce n'est pas seulement l'adhésion à mon livre, c'est une ? de noble cordialité pour tous ceux qui pleurent, tremblent et souffrent (…) Aussi est-ce en leur nom que je vous remercie. (…) Tous ces beaux et nobles vers que vous m'avez adressés sont résumés et complétés par cette grande et touchante marque de sympathie publique. Je vous serre la main avec effusion. (…)" Belle lettre touchante de sincérité et d’engagement passionné en remerciement à des compliments pour son roman les Misérables, qui venait de paraître. On y ajoute une autre L.A.S. du même, Hauteville House, 4 juillet(?) sans année, 1 p. sur papier bleu : "En arrivant, Monsieur, après trois mois presque d'absence, je trouve votre nouvelle lettre (…) et ces charmantes lignes de madame votre fille, j'en suis vivement ému (…)"
HUGO (Victor). L.A.S. "Victor Hugo", Hauteville House [Guernesey], 24 juillet 1862 : "Monsieur, M. le rédacteur en chef de La Presse [quotidien français lancé en 1836 par Émile de Girardin] m'a transmis une lettre que vous lui avez écrite à l'occasion des Misérables. A quel point cette lettre m'a ému, je renonce à vous le dire. J'y ai receonnu l'affinité, précieuse pour moi, en votre âme avec la mienne. Ce qu'il y a dans cette lettre, ce n'est pas seulement l'adhésion à mon livre, c'est une ? de noble cordialité pour tous ceux qui pleurent, tremblent et souffrent (…) Aussi est-ce en leur nom que je vous remercie. (…) Tous ces beaux et nobles vers que vous m'avez adressés sont résumés et complétés par cette grande et touchante marque de sympathie publique. Je vous serre la main avec effusion. (…)" Belle lettre touchante de sincérité et d’engagement passionné en remerciement à des compliments pour son roman les Misérables, qui venait de paraître. On y ajoute une autre L.A.S. du même, Hauteville House, 4 juillet(?) sans année, 1 p. sur papier bleu : "En arrivant, Monsieur, après trois mois presque d'absence, je trouve votre nouvelle lettre (…) et ces charmantes lignes de madame votre fille, j'en suis vivement ému (…)"
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