JANIN (Jules). L.A.S. "J. Janin", sl, 19 novembre 1894, 1 p. adressée à M. Asseline (secrétaire du Duc et de la Duchesse d'Orléans) : "Monsieur, Voulez-vous me rendre bien heureux ? Dites à Monseigneur le Duc d'Orléans combien je suis touché de la bonne faveur d'agir avec moi. C'est là une grâce qui m'est mille(?) fois plus sensible que toute faveur personnelle et que je n'oublierai jamais. (…)" Critique littéraire (notamment au "Journal des débats"), journaliste, romancier et membre de l'Académie française (élu en 1870), Jules Janin ne fut pourtant pas tendre avec la famille d'Orléans et Louis Philippe (le père du Duc d'Orléans) : il avait publié en 1831 le roman Barnave, à l'esprit ultra-royaliste, mettant en scène Antoine Barnave (1761-1793), brillant député à la Constituante et partisan de la monarchie constitutionnelle et raillant par la même occasion le "Roi des Barricades".
JANIN (Jules). L.A.S. "J. Janin", sl, 19 novembre 1894, 1 p. adressée à M. Asseline (secrétaire du Duc et de la Duchesse d'Orléans) : "Monsieur, Voulez-vous me rendre bien heureux ? Dites à Monseigneur le Duc d'Orléans combien je suis touché de la bonne faveur d'agir avec moi. C'est là une grâce qui m'est mille(?) fois plus sensible que toute faveur personnelle et que je n'oublierai jamais. (…)" Critique littéraire (notamment au "Journal des débats"), journaliste, romancier et membre de l'Académie française (élu en 1870), Jules Janin ne fut pourtant pas tendre avec la famille d'Orléans et Louis Philippe (le père du Duc d'Orléans) : il avait publié en 1831 le roman Barnave, à l'esprit ultra-royaliste, mettant en scène Antoine Barnave (1761-1793), brillant député à la Constituante et partisan de la monarchie constitutionnelle et raillant par la même occasion le "Roi des Barricades".
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