JEAN-PAUL-SARTRE / LE DIABLE ET LE BON DIEU]. Pierre BRASSEUR (1905/1972). L.A.S. à Jean-Paul-Sartre, écrite au dos d'une carte postale. 1 p. in-12. Belle lettre sur Le Diable et du Bon Dieu, pièce de Sartre dont Pierre Brasseur interpréta le rôle-titre lors de sa création par Louis Jouvet au Théâtre Antoine, en juin 1951 (avec Maria Casarès et Jean Vilar). «Cher Sartre. Nous venons de passer deux jours de repos avec le Diable et le très très bon Dieu de bon Dieu. Je suis là dessus comme chez moi. Je m'y installe de plus en plus. Je pourrai bientôt vous y recevoir. Et croyez-moi c'est très confortable. Tout ce qu'il faut pour jouer, pour gueuler, pour rire et pour tuer non seulement le temps, mais les gêneurs publics. Ce qui est merveilleux, c'est la légèreté de votre puissance. Bravos bravos. J'attends avec impatience le 2ème étage. Et nous aurons, je crois un palais solide contre lequel les canons de la connerie pourront toujours tirer. Ce ne seront que des pets mais c'est nous qui les emmerderons [...]». JOINT: un tract de la pièce et l'invitation personnelle de Jean-Paul-Sartre pour la première représentation du jeudi 7 juin 1951 «M. l'auteur, loge n°22».
JEAN-PAUL-SARTRE / LE DIABLE ET LE BON DIEU]. Pierre BRASSEUR (1905/1972). L.A.S. à Jean-Paul-Sartre, écrite au dos d'une carte postale. 1 p. in-12. Belle lettre sur Le Diable et du Bon Dieu, pièce de Sartre dont Pierre Brasseur interpréta le rôle-titre lors de sa création par Louis Jouvet au Théâtre Antoine, en juin 1951 (avec Maria Casarès et Jean Vilar). «Cher Sartre. Nous venons de passer deux jours de repos avec le Diable et le très très bon Dieu de bon Dieu. Je suis là dessus comme chez moi. Je m'y installe de plus en plus. Je pourrai bientôt vous y recevoir. Et croyez-moi c'est très confortable. Tout ce qu'il faut pour jouer, pour gueuler, pour rire et pour tuer non seulement le temps, mais les gêneurs publics. Ce qui est merveilleux, c'est la légèreté de votre puissance. Bravos bravos. J'attends avec impatience le 2ème étage. Et nous aurons, je crois un palais solide contre lequel les canons de la connerie pourront toujours tirer. Ce ne seront que des pets mais c'est nous qui les emmerderons [...]». JOINT: un tract de la pièce et l'invitation personnelle de Jean-Paul-Sartre pour la première représentation du jeudi 7 juin 1951 «M. l'auteur, loge n°22».
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