Jeune fille Epreuve en bronze patinée. Fonte d'édition post-mortem. Signée et daté 1969, numérotée 2/8. H.: 34 cm Bibliographie: Joseph CSAKY Catalogue Raisonné des sculptures, Félix Marcilhac, Edition de l'Amateur, 2007, reproduit sous la référence 1969-FM.370/a page 388.Bien que n'ayant jamais adhéré au mouvement lui-même, Félix Labisse bénéficie du soutien et de l'amitié de nombreux poètes et peintres surréalistes tels que Robert Desnos Paul Eluard Philippe Soupault et Jacques Prévert. Notre tableau «Hommage à Charles Baudelaire» témoigne de cette proximité surréaliste: atmosphère fantastique, sentiment du magique et érotisme mêlés, esthétique froide et silencieuse. On remarque également que la beauté féminine avec son maquillage et sa coiffure à la garçonne évoque la mode des «Sixties». Son inspiration est aussi prise à l'occasion de sa vie nocturne parisienne: il est un des habitués des cabarets de Saint-Germain des Prés de l'après-guerre le Tabou, la Rose rouge, le Club Saint-Germain, la Fontaine des Quatre-Saisons, où il côtoie les frères Prévert, Boris Vian, Juliette Gréco et Marcel Mouloudji. Notre tableau est assurément pour le peintre un des chefs d'œuvre de la décennie. La thématique de la Sybille nue aux bijoux, est reprise plusieurs fois durant les années 60.
Jeune fille Epreuve en bronze patinée. Fonte d'édition post-mortem. Signée et daté 1969, numérotée 2/8. H.: 34 cm Bibliographie: Joseph CSAKY Catalogue Raisonné des sculptures, Félix Marcilhac, Edition de l'Amateur, 2007, reproduit sous la référence 1969-FM.370/a page 388.Bien que n'ayant jamais adhéré au mouvement lui-même, Félix Labisse bénéficie du soutien et de l'amitié de nombreux poètes et peintres surréalistes tels que Robert Desnos Paul Eluard Philippe Soupault et Jacques Prévert. Notre tableau «Hommage à Charles Baudelaire» témoigne de cette proximité surréaliste: atmosphère fantastique, sentiment du magique et érotisme mêlés, esthétique froide et silencieuse. On remarque également que la beauté féminine avec son maquillage et sa coiffure à la garçonne évoque la mode des «Sixties». Son inspiration est aussi prise à l'occasion de sa vie nocturne parisienne: il est un des habitués des cabarets de Saint-Germain des Prés de l'après-guerre le Tabou, la Rose rouge, le Club Saint-Germain, la Fontaine des Quatre-Saisons, où il côtoie les frères Prévert, Boris Vian, Juliette Gréco et Marcel Mouloudji. Notre tableau est assurément pour le peintre un des chefs d'œuvre de la décennie. La thématique de la Sybille nue aux bijoux, est reprise plusieurs fois durant les années 60.
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