Louis HUART (1813-1865) Panthéon Nadar 54 Dessin au fusain et à l'estompe rehaussé de gouache. 23,5 x 15,5 cm (BN Na 88 Boîte 16) Né à Trèves - Mort à Paris. Ecrivain et journaliste. Après ses études au Collège à Metz, il vient à Paris pour étudier le droit. Attiré par la littérature, il débute par des feuilletons au Moniteur du commerce et par un livre : Quand on a vingt ans, Histoire de la rue Saint-Jacques déjà écrit dans son style incisif et railleur. En 1835 il entre au Charivari où il donne tous les jours un ou deux articles sur toutes les grandes et petites questions du moment. Il devient spécialiste du genre "critique comique" où la verve bouffonne n'exclue pas le jugement et le bon sens. On lui doit aussi : Les physiologies... Les cent et un Robert Macaire illustré par Daumier ; Museum parisien, histoire physiologique pittoresque illustré par Grandville... Il a été collaborateur du Musée pour rire, des Étrangers à Paris...de l'Artiste...". Il a acheté en 1855 le théâtre des Folies-Nouvelles, pour lequel, il s'est successivement associé à Altaroche (voir n° 5) et Duponchel. Il le cédera en 1859 à Mademoiselle Dejazet. Sources : Vapereau page 921. Estimation
Louis HUART (1813-1865) Panthéon Nadar 54 Dessin au fusain et à l'estompe rehaussé de gouache. 23,5 x 15,5 cm (BN Na 88 Boîte 16) Né à Trèves - Mort à Paris. Ecrivain et journaliste. Après ses études au Collège à Metz, il vient à Paris pour étudier le droit. Attiré par la littérature, il débute par des feuilletons au Moniteur du commerce et par un livre : Quand on a vingt ans, Histoire de la rue Saint-Jacques déjà écrit dans son style incisif et railleur. En 1835 il entre au Charivari où il donne tous les jours un ou deux articles sur toutes les grandes et petites questions du moment. Il devient spécialiste du genre "critique comique" où la verve bouffonne n'exclue pas le jugement et le bon sens. On lui doit aussi : Les physiologies... Les cent et un Robert Macaire illustré par Daumier ; Museum parisien, histoire physiologique pittoresque illustré par Grandville... Il a été collaborateur du Musée pour rire, des Étrangers à Paris...de l'Artiste...". Il a acheté en 1855 le théâtre des Folies-Nouvelles, pour lequel, il s'est successivement associé à Altaroche (voir n° 5) et Duponchel. Il le cédera en 1859 à Mademoiselle Dejazet. Sources : Vapereau page 921. Estimation
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