[LOUIS PHILIPPE - BARON SARGET] Lettre patente de trois pages transformant la rente stipulée dans le majorat établi en 1830 lors de l'acquisition du titre de Baron par le Sieur Jean Auguste Sarget Lafontaine en dix sept biens fonciers sur des terres vinicoles dans le village de Beychevelle, commune de Saint Julien, Canton de Pauillac, arrondissement de Lesparre - Donnée le 10 Mars 1846 - Signée Louis Philippe et pour le Garde des Sceaux - cahet de cire verte aux armes de France et profil de Louis Philippe (accidenté) - Dans son étui. 49 x 32,5 cm (la page) - Diam. cachet : 12,5 cm Note : Document retraçant indirectement une partie de la constitution et de la transmission du chateau Gruaud-Larose entre Balguerie Stuttenberg, Verdonnet et le Baron Sarget. Le majorat fût institué sous le règne de Napoléon Ier. Le réquérant pour pouvoir transmettre son titre à sa descendance, devait lui affecter un patrimoine apportant une rente, selon des conditions fixées la decret du 1er Mars 1808. Le but étant de pouvoir permettre aux titulaires succesifs de maintenir leur rang. La transmission du titre se faisait toujours par ordre de primogéniture et de mâle à mâle. Sous Louis Philippe, le majorat fût supprimé en 1835, mais les règles de transmission restèrent les mêmes.
[LOUIS PHILIPPE - BARON SARGET] Lettre patente de trois pages transformant la rente stipulée dans le majorat établi en 1830 lors de l'acquisition du titre de Baron par le Sieur Jean Auguste Sarget Lafontaine en dix sept biens fonciers sur des terres vinicoles dans le village de Beychevelle, commune de Saint Julien, Canton de Pauillac, arrondissement de Lesparre - Donnée le 10 Mars 1846 - Signée Louis Philippe et pour le Garde des Sceaux - cahet de cire verte aux armes de France et profil de Louis Philippe (accidenté) - Dans son étui. 49 x 32,5 cm (la page) - Diam. cachet : 12,5 cm Note : Document retraçant indirectement une partie de la constitution et de la transmission du chateau Gruaud-Larose entre Balguerie Stuttenberg, Verdonnet et le Baron Sarget. Le majorat fût institué sous le règne de Napoléon Ier. Le réquérant pour pouvoir transmettre son titre à sa descendance, devait lui affecter un patrimoine apportant une rente, selon des conditions fixées la decret du 1er Mars 1808. Le but étant de pouvoir permettre aux titulaires succesifs de maintenir leur rang. La transmission du titre se faisait toujours par ordre de primogéniture et de mâle à mâle. Sous Louis Philippe, le majorat fût supprimé en 1835, mais les règles de transmission restèrent les mêmes.
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