LOUYS (Pierre) poète et romancier français (1870-1925) 2 lettres autographes signées et une lettre autographe. 1 p. in-8, 2 pp.in-8 et 4 pp. in-8, bordures de deuil légèrement fragilisées pour celle-ci.C’est de l’Espagne, qu’il s’adresse au journaliste Henri Albert. (17 octobre 1900). Il lui demande d’apporter les manuscrits en sa possession, manuscrits qu’il n’a jamais vus. «Nous les examinerions tous ensemble. ».La seconde lettre, datée du 1er septembre 1916, est adressée à un marchand d’autographes. Elle concerne une lettre de Frédéric II, qu’il s’efforce de dater précisément. La bataille de Rossbach, faisant référence à cette précision.La dernière lettre datée du 10 mars 1918 (d’une autre main) est adressée à un commandant. Très curieuse et délirante lettre: «...On n’imagine pas quelles averses de pétrole peuvent compromettre la culture du macaroni en temps de guerre. Devant l’inflexibilité du haut commandement j’ai tenté de fléchir les nouilles que le pétrole assouplissait. La plus jolie nouille du monde ne peut donner que ce qu’elle a, mais quand elle a du pétrole plus que les nouilles ne peuvent en boire, elle éprouve ce délire d’essence que tout homme de cœur aime à partager [...] J’ai de belles relations chez les nouilles. Mais j’ai l’honneur d’informer le 2ème bureau de l’Etat Major que mon bec se rallume aujourd’hui 10 mars. C’est un bec. Il a la largeur de ma langue... ».
LOUYS (Pierre) poète et romancier français (1870-1925) 2 lettres autographes signées et une lettre autographe. 1 p. in-8, 2 pp.in-8 et 4 pp. in-8, bordures de deuil légèrement fragilisées pour celle-ci.C’est de l’Espagne, qu’il s’adresse au journaliste Henri Albert. (17 octobre 1900). Il lui demande d’apporter les manuscrits en sa possession, manuscrits qu’il n’a jamais vus. «Nous les examinerions tous ensemble. ».La seconde lettre, datée du 1er septembre 1916, est adressée à un marchand d’autographes. Elle concerne une lettre de Frédéric II, qu’il s’efforce de dater précisément. La bataille de Rossbach, faisant référence à cette précision.La dernière lettre datée du 10 mars 1918 (d’une autre main) est adressée à un commandant. Très curieuse et délirante lettre: «...On n’imagine pas quelles averses de pétrole peuvent compromettre la culture du macaroni en temps de guerre. Devant l’inflexibilité du haut commandement j’ai tenté de fléchir les nouilles que le pétrole assouplissait. La plus jolie nouille du monde ne peut donner que ce qu’elle a, mais quand elle a du pétrole plus que les nouilles ne peuvent en boire, elle éprouve ce délire d’essence que tout homme de cœur aime à partager [...] J’ai de belles relations chez les nouilles. Mais j’ai l’honneur d’informer le 2ème bureau de l’Etat Major que mon bec se rallume aujourd’hui 10 mars. C’est un bec. Il a la largeur de ma langue... ».
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