- Maintenon, Françoise d'Aubigné, Marquise de, Geliebte und zweite Gemahlin König Ludwigs XIV., in erster Ehe mit dem Dichter Scarron verheiratet (1635-1719). Brief m. U. "Maintenon". 1 S. Doppelblatt mit Adresse. O. O. 26.IX. (1710). An Madame de St. Periers in Saint-Cyr, wo sie eine Erziehungsanstalt für Töchter des niederen Adels gegründet hatte. "Vous seriez assés propre à aimer mieux sans dire mot que je vous écrivisse de ma main que de celle d'une autre [der Text des Briefes ist von Hand der Mademoiselle Aumale geschrieben] mais il faut devenir forte et porter de plus grande disgrace, vous estes a souhait dans vostre classe, vous vous recriez sur tout ce que fait Ma S[oeu]r de Boissanoeur, et elle chante vos louanges, vous la trouvés propre a être première Maitresse, et elle dit que vous estes une parfaite subalterne, et qu'elle aspire a changer de place avec vous, qu'est ce qu'une supérieure peut avoir a faire avec de feltre inférieure, je M'engouay lautre jour a Melun en recitant vos vertus, je metois fait prier longtems de parler de St Cyr quoique j'en mourusse d'envie, et je m'abandonnay sy fort que j'en sortis envouée de sorte que je ny retournerai plus ...".
- Maintenon, Françoise d'Aubigné, Marquise de, Geliebte und zweite Gemahlin König Ludwigs XIV., in erster Ehe mit dem Dichter Scarron verheiratet (1635-1719). Brief m. U. "Maintenon". 1 S. Doppelblatt mit Adresse. O. O. 26.IX. (1710). An Madame de St. Periers in Saint-Cyr, wo sie eine Erziehungsanstalt für Töchter des niederen Adels gegründet hatte. "Vous seriez assés propre à aimer mieux sans dire mot que je vous écrivisse de ma main que de celle d'une autre [der Text des Briefes ist von Hand der Mademoiselle Aumale geschrieben] mais il faut devenir forte et porter de plus grande disgrace, vous estes a souhait dans vostre classe, vous vous recriez sur tout ce que fait Ma S[oeu]r de Boissanoeur, et elle chante vos louanges, vous la trouvés propre a être première Maitresse, et elle dit que vous estes une parfaite subalterne, et qu'elle aspire a changer de place avec vous, qu'est ce qu'une supérieure peut avoir a faire avec de feltre inférieure, je M'engouay lautre jour a Melun en recitant vos vertus, je metois fait prier longtems de parler de St Cyr quoique j'en mourusse d'envie, et je m'abandonnay sy fort que j'en sortis envouée de sorte que je ny retournerai plus ...".
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