Masque de danse présentant un visage humain. Le nez et la bouche se projetant en forme de bec d'oiseau éffilé plongeant. Ses yeux plissés lui confèrent un regard perçant et mystérieux et sont surmontés d'un front bombé agrémenté d'une arête médiane équilibrée. Bois à patine brune. Marques d'usage internes. Dan Maou, République de Côte-d'Ivoire. Début XXème siècle. 27 x 14,5 cm. Provenance : ancienne Collection Charles Lapicque Collection particulière. Ce masque apparait sur la célèbre photographie de Charles Lapicque entouré de sa collection. Ce dernier découvre les arts d’Afrique noire en 1938. Cette découverte coïncide avec de nouvelles perspectives artistiques vers lesquelles tend le peintre. Sa fascination s’exprime à travers le dessin qu’il réalise de notre œuvre. Le nom de Charles Lapicque restera à jamais associé aux arts d’Afrique puisqu’il est lié à l’extraordinaire masque kwélé conservé au musée du Quai Branly. Charles Lapicque disait à propos des objets primitifs : « ce ne sont pas les siècles en eux-mêmes qui nous exaltent, mais la présence des dieux, devant lesquels le créateur de ces œuvres s’est à ce point effacé » (Revue du Louvre et des musées de France, mars 1977, p. 210) Publication : Charles Lapicque le dérangeur, sous la direction de Philippe Bouchet, éd. Thalia.
Masque de danse présentant un visage humain. Le nez et la bouche se projetant en forme de bec d'oiseau éffilé plongeant. Ses yeux plissés lui confèrent un regard perçant et mystérieux et sont surmontés d'un front bombé agrémenté d'une arête médiane équilibrée. Bois à patine brune. Marques d'usage internes. Dan Maou, République de Côte-d'Ivoire. Début XXème siècle. 27 x 14,5 cm. Provenance : ancienne Collection Charles Lapicque Collection particulière. Ce masque apparait sur la célèbre photographie de Charles Lapicque entouré de sa collection. Ce dernier découvre les arts d’Afrique noire en 1938. Cette découverte coïncide avec de nouvelles perspectives artistiques vers lesquelles tend le peintre. Sa fascination s’exprime à travers le dessin qu’il réalise de notre œuvre. Le nom de Charles Lapicque restera à jamais associé aux arts d’Afrique puisqu’il est lié à l’extraordinaire masque kwélé conservé au musée du Quai Branly. Charles Lapicque disait à propos des objets primitifs : « ce ne sont pas les siècles en eux-mêmes qui nous exaltent, mais la présence des dieux, devant lesquels le créateur de ces œuvres s’est à ce point effacé » (Revue du Louvre et des musées de France, mars 1977, p. 210) Publication : Charles Lapicque le dérangeur, sous la direction de Philippe Bouchet, éd. Thalia.
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