(Philosophie) - LIPSE, Juste.- Physiologiae stoicorum libri tres [- Manuductionis ad stoicam philosopham libri tres […]]. L. Annaeo Senecae, aliisque scriptoribus illustrandis. Parisiis, ex officina Plantiniana, apud Hadrianum Perier, 1604. 2 ouvr. en 1 vol. in-8° : 152-[3], 164-[6 dont 1 bl.] ff. (ex. lég. bruni, pet. rouss., qqs pet. perforations, surtout dans les marges, mouill. marg.). Rel. de l'époque : plein vélin à couture apparente, dos lisses titré à la plume, tr. jaspées de rouge (pet. taches, d'encre surtout, 2 coins et 1 coupes -en partie- fort émoussés, notes mss de l'ép. sur les gardes). Seconde édition, parue la même année que l'édition originale chez Jean Moretus, de ces deux traités portant sur le stoïcisme et se composant de plusieurs dialogues entre Lipse et son élève. Le premier est une présentation générale, le second expose de manière plus détaillée les principes de la philosophie. Adrien Périer fut le successeur de Gilles Beys dont il avait épousé la veuve, Madeleine Plantin, fille de Christophe. Marque plantinienne sur les titres. # BB III-1075 (L 514). Drouotlive.com Read more
(Philosophie) - LIPSE, Juste.- Physiologiae stoicorum libri tres [- Manuductionis ad stoicam philosopham libri tres […]]. L. Annaeo Senecae, aliisque scriptoribus illustrandis. Parisiis, ex officina Plantiniana, apud Hadrianum Perier, 1604. 2 ouvr. en 1 vol. in-8° : 152-[3], 164-[6 dont 1 bl.] ff. (ex. lég. bruni, pet. rouss., qqs pet. perforations, surtout dans les marges, mouill. marg.). Rel. de l'époque : plein vélin à couture apparente, dos lisses titré à la plume, tr. jaspées de rouge (pet. taches, d'encre surtout, 2 coins et 1 coupes -en partie- fort émoussés, notes mss de l'ép. sur les gardes). Seconde édition, parue la même année que l'édition originale chez Jean Moretus, de ces deux traités portant sur le stoïcisme et se composant de plusieurs dialogues entre Lipse et son élève. Le premier est une présentation générale, le second expose de manière plus détaillée les principes de la philosophie. Adrien Périer fut le successeur de Gilles Beys dont il avait épousé la veuve, Madeleine Plantin, fille de Christophe. Marque plantinienne sur les titres. # BB III-1075 (L 514). Drouotlive.com Read more
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