SCARRON (Paul). Les Dernières œuvres de monsieur Scaron, divisées en deux parties. Contenantes plusieurs Lettres Amoureuses & Galantes, Nouvelles, Histoires, plusieurs, Pièces, tant en Vers qu’en Prose, Comedies, & autres. Le tout rédigé par un de ses Amis. Suivant la copie imprimée à Paris, 1668. — In-12, 133 x 77 : (6 ff.), 237 pp., (1 f. blanc), 84 pp., (1 f.), 66 pp. Veau havane moucheté, double filet doré en encadrement et monogramme doré et couronné au centre sur les plats, dos à nerfs orné à la grotesque, tranches mouchetées (reliure du XVIIIe siècle).{CR}Belle édition annexée à la collection elzévirienne, portant sur les titres la marque au « Quærendo » de l’imprimeur Abraham Wolfgang d’Amsterdam. Débutant par une épître signée de Guillaume de Luynes adressée à M. d’Elbenne, elle contient la correspondance de l’auteur, ses poésies diverses, des fragments de plusieurs comédies et, avec chacune une page de titre propre et une pagination particulière, 2 pièces intitulées La Fausse apparence et Le Prince corsaire . L’édition est illustrée d’un joli frontispice figurant des satyres dansant devant une fontaine. Bel exemplaire en reliure ancienne vraisemblablement allemande, arborant sur les plats un monogramme couronné non identifié apposé postérieurement. Quelques frottements d’usage, sans gravité.
SCARRON (Paul). Les Dernières œuvres de monsieur Scaron, divisées en deux parties. Contenantes plusieurs Lettres Amoureuses & Galantes, Nouvelles, Histoires, plusieurs, Pièces, tant en Vers qu’en Prose, Comedies, & autres. Le tout rédigé par un de ses Amis. Suivant la copie imprimée à Paris, 1668. — In-12, 133 x 77 : (6 ff.), 237 pp., (1 f. blanc), 84 pp., (1 f.), 66 pp. Veau havane moucheté, double filet doré en encadrement et monogramme doré et couronné au centre sur les plats, dos à nerfs orné à la grotesque, tranches mouchetées (reliure du XVIIIe siècle).{CR}Belle édition annexée à la collection elzévirienne, portant sur les titres la marque au « Quærendo » de l’imprimeur Abraham Wolfgang d’Amsterdam. Débutant par une épître signée de Guillaume de Luynes adressée à M. d’Elbenne, elle contient la correspondance de l’auteur, ses poésies diverses, des fragments de plusieurs comédies et, avec chacune une page de titre propre et une pagination particulière, 2 pièces intitulées La Fausse apparence et Le Prince corsaire . L’édition est illustrée d’un joli frontispice figurant des satyres dansant devant une fontaine. Bel exemplaire en reliure ancienne vraisemblablement allemande, arborant sur les plats un monogramme couronné non identifié apposé postérieurement. Quelques frottements d’usage, sans gravité.
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