SAINTE-BEUVE, Charles-Augustin (1804-1869). Chroniques parisiennes. Manuscrit autographe signé, 2 décembre [1843]. 9 pp. (182 x 124 mm), à l’encre noire sur deux double feuillets et 1 f. simple. Sont jointes, les pages imprimées du texte d'une édition non identifiée. (Pliures marginales). Manuscrit autographe de cette chronique du 2 décembre 1843. Les Chroniques parisiennes étaient de courts textes, publiés anonymement par Sainte-Beuve dans la Revue Suisse , entre 1843 et 1845. Ce manuscrit est probablement adressé au directeur de cette revue, Juste Olivier (1807-1876). Les présentes Chroniques traitent du voyage du duc de Bordeaux en Angleterre ; les craintes de l'université en face du clergé ; Montalambert ; l'article de Victor Cousin sur Vanini ; et Catholicisme et Eclectisme. Les textes seront ensuite publiés dans leur ensemble en 1876, à titre posthume. Les nombreuses ratures et corrections, ainsi que les quelques mots adressés par Sainte-Beuve au destinataire, qui bornent la chronique proprement dite, donnent bien l’image de notes griffonnées quotidiennement : « adieu , conclut-il, je vous embrasse cher ami, assez pour aujourd’hui ». An autograph manuscript of this chronicle published on 2 December 1843.
SAINTE-BEUVE, Charles-Augustin (1804-1869). Chroniques parisiennes. Manuscrit autographe signé, 2 décembre [1843]. 9 pp. (182 x 124 mm), à l’encre noire sur deux double feuillets et 1 f. simple. Sont jointes, les pages imprimées du texte d'une édition non identifiée. (Pliures marginales). Manuscrit autographe de cette chronique du 2 décembre 1843. Les Chroniques parisiennes étaient de courts textes, publiés anonymement par Sainte-Beuve dans la Revue Suisse , entre 1843 et 1845. Ce manuscrit est probablement adressé au directeur de cette revue, Juste Olivier (1807-1876). Les présentes Chroniques traitent du voyage du duc de Bordeaux en Angleterre ; les craintes de l'université en face du clergé ; Montalambert ; l'article de Victor Cousin sur Vanini ; et Catholicisme et Eclectisme. Les textes seront ensuite publiés dans leur ensemble en 1876, à titre posthume. Les nombreuses ratures et corrections, ainsi que les quelques mots adressés par Sainte-Beuve au destinataire, qui bornent la chronique proprement dite, donnent bien l’image de notes griffonnées quotidiennement : « adieu , conclut-il, je vous embrasse cher ami, assez pour aujourd’hui ». An autograph manuscript of this chronicle published on 2 December 1843.
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