Belle et rare statuette représentant un léopard assis à décor polychrome « au naturel », reposant sur une terrasse émaillée verte simulant un tertre herbeux Vers 1735 - 1740. Hauteur : 13,5 cm Bibliographie : Geneviève Le Duc op. cit. : - Un léopard similaire est illustré page 148, conservé au Metropolitan Museum of Art, New York. Il est également reproduit in « The Jack and Belle Linsky Collection at the Metropolitan Museum of Art, N.Y., n° 232. Il y est précisé que le modèle est directement inspiré d'une figure de « tigre » japonais de la fin du XVIIème siècle dont une paire est conservée au Palais Chinois de Drottningholm. L'auteur ajoute : « cette statuette est la seule version européenne répertoriée de ce modèle » ... à l'exception de celleci, complète de sa terrasse... - Un pot pourri avec un léopard similaire, conservé au musée Condé à Chantilly, est reproduit in « Les porcelainiers du XVIIIème siècle français », p. 106, accompagné de ce commentaire : « Un léopard rugissant dont le pelage peint au naturel est d'une exactitude approximative... » appartient à l'inspiration d'Extrême Orient et peut se ranger dans la période " coréenne" de la manufacture encore qu'il soit proche des biscuits émaillés kangxi.
Belle et rare statuette représentant un léopard assis à décor polychrome « au naturel », reposant sur une terrasse émaillée verte simulant un tertre herbeux Vers 1735 - 1740. Hauteur : 13,5 cm Bibliographie : Geneviève Le Duc op. cit. : - Un léopard similaire est illustré page 148, conservé au Metropolitan Museum of Art, New York. Il est également reproduit in « The Jack and Belle Linsky Collection at the Metropolitan Museum of Art, N.Y., n° 232. Il y est précisé que le modèle est directement inspiré d'une figure de « tigre » japonais de la fin du XVIIème siècle dont une paire est conservée au Palais Chinois de Drottningholm. L'auteur ajoute : « cette statuette est la seule version européenne répertoriée de ce modèle » ... à l'exception de celleci, complète de sa terrasse... - Un pot pourri avec un léopard similaire, conservé au musée Condé à Chantilly, est reproduit in « Les porcelainiers du XVIIIème siècle français », p. 106, accompagné de ce commentaire : « Un léopard rugissant dont le pelage peint au naturel est d'une exactitude approximative... » appartient à l'inspiration d'Extrême Orient et peut se ranger dans la période " coréenne" de la manufacture encore qu'il soit proche des biscuits émaillés kangxi.
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