Léda et le Cygne – Rare groupe en bronze ciselé à double patine dorée et argentée représentant Léda assise sur une base rocheuse, un cygne à ses côtés, la partie avant cannelée sur un petit socle quadrilobé et présenté sur une colonne en onyx blanc rapportée. Italie vers 1600. Collection privée René Gruau Hauteur totale : 14 cm, le bronze : 5,4 cm Petit de taille mais d’une grande finesse d’exécution, sculpté dans des proportions et formes qui nous plongent directement dans l’esprit des artistes maniériste italiens et ceux de l’Ecole de Fontainebleau, Léda et le cygne est un sujet issu de l’Art mythologique grec, redécouvert pendant la Renaissance en inspirant les plus grands artistes comme le Corrège, Léonard. Michel-Ange ou Benvenuto Cellini Léda est représentée agenouillée, assise sur une base rocheuse, la tête à la chevelure argentée, tournée vers la droite avec le regard détourné dans une attitude désintéressée et opposée au cygne qui voudrait la séduire en appuyant la tête et son long col sur la jambe de Léda. On retiendra de cette sculpture le contraste des mouvements, avec d’un côté le calme de Léda impassible et de l’autre, l’action déterminée de Zeus transformé en cygne qui dans un mouvement agité de battement d’ailes essaye de se poser aux pieds de Léda. Contraste d’autant plus appuyé de par la différence de tonalité des deux patines.
Léda et le Cygne – Rare groupe en bronze ciselé à double patine dorée et argentée représentant Léda assise sur une base rocheuse, un cygne à ses côtés, la partie avant cannelée sur un petit socle quadrilobé et présenté sur une colonne en onyx blanc rapportée. Italie vers 1600. Collection privée René Gruau Hauteur totale : 14 cm, le bronze : 5,4 cm Petit de taille mais d’une grande finesse d’exécution, sculpté dans des proportions et formes qui nous plongent directement dans l’esprit des artistes maniériste italiens et ceux de l’Ecole de Fontainebleau, Léda et le cygne est un sujet issu de l’Art mythologique grec, redécouvert pendant la Renaissance en inspirant les plus grands artistes comme le Corrège, Léonard. Michel-Ange ou Benvenuto Cellini Léda est représentée agenouillée, assise sur une base rocheuse, la tête à la chevelure argentée, tournée vers la droite avec le regard détourné dans une attitude désintéressée et opposée au cygne qui voudrait la séduire en appuyant la tête et son long col sur la jambe de Léda. On retiendra de cette sculpture le contraste des mouvements, avec d’un côté le calme de Léda impassible et de l’autre, l’action déterminée de Zeus transformé en cygne qui dans un mouvement agité de battement d’ailes essaye de se poser aux pieds de Léda. Contraste d’autant plus appuyé de par la différence de tonalité des deux patines.
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