Guéridon de forme ronde, en acajou et placage d’acajou à ramages, le plateau à décor églomisé blanc et doré de palmettes, orné de neuf vues, de châteaux et d’abbayes marqués par des épisodes de l’histoire de France : Tury, Marmoutiers, Ronceveaux, Villeron, Brantôme, Chalus, Glisson et Montaigne, à la mine de plomb aquarellée et rehauts de gouache avec au centre le château de Pau. Le plateau est ceinturé d’une frise de feuilles d’eau en bronze ciselé et repose sur un fût à colonne cylindrique terminé par une base tripode et des roulettes. Premiers tiers du XIXème siècle (restaurations, usures, petits accidents de placage, montage) H : 76 - D : 49,5 cm Le guéridon, un des meubles les plus caractéristiques de la première moitié du XIXème siècle, désigne à l’origine un petit plateau arrondi posé sur un pied unique et destiné à supporter un éclairage. Sous l’Empire on le qualifie plutôt de table à thé ou de table à déjeuner. Le guéridon que nous présentons s’inspire de celui exécuté par François Honoré-Georges Jacob Desmalter pour la duchesse de Berry, livré aux Tuileries le 10 octobre 1821. Ce guéridon reproduit dans «Le mobilier Directoire-Empire, par Chantal Bizot», Paris S.d., Massin Ed., p. 40 est légendé comme ayant fait partie la collection Mancel-Coti.
Guéridon de forme ronde, en acajou et placage d’acajou à ramages, le plateau à décor églomisé blanc et doré de palmettes, orné de neuf vues, de châteaux et d’abbayes marqués par des épisodes de l’histoire de France : Tury, Marmoutiers, Ronceveaux, Villeron, Brantôme, Chalus, Glisson et Montaigne, à la mine de plomb aquarellée et rehauts de gouache avec au centre le château de Pau. Le plateau est ceinturé d’une frise de feuilles d’eau en bronze ciselé et repose sur un fût à colonne cylindrique terminé par une base tripode et des roulettes. Premiers tiers du XIXème siècle (restaurations, usures, petits accidents de placage, montage) H : 76 - D : 49,5 cm Le guéridon, un des meubles les plus caractéristiques de la première moitié du XIXème siècle, désigne à l’origine un petit plateau arrondi posé sur un pied unique et destiné à supporter un éclairage. Sous l’Empire on le qualifie plutôt de table à thé ou de table à déjeuner. Le guéridon que nous présentons s’inspire de celui exécuté par François Honoré-Georges Jacob Desmalter pour la duchesse de Berry, livré aux Tuileries le 10 octobre 1821. Ce guéridon reproduit dans «Le mobilier Directoire-Empire, par Chantal Bizot», Paris S.d., Massin Ed., p. 40 est légendé comme ayant fait partie la collection Mancel-Coti.
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