Léon SAY (1826-1896) homme politique et économiste 9 LAS et 1 LS, 1872-1888 et sd, la plupart à son ami Louis Passy ; 16 pages et quart formats divers, qqs en-têtes Longue lettre du 13 avril [1875], à propos des indemnités à payer à l’Allemagne : le ministre des Affaires étrangères Decazes est inquiet de « l’attitude de l’Allemagne » à l’égard du projet d’emprunt « Il faut donc trouver ce que j’appellerai une pièce de rechange » : deux dotations réunies, « 100 000 000 à prendre dans un coin », etc ; « comme dans toutes les affaires, il suffit d’avoir le bout de corde »… Il entretient Passy de modifications à apporter à une lettre à Decazes, lui demande de répondre à sa demande de rester sous-secrétaire d’État, et de prendre près de lui son ancien secrétaire Foyat, indique la « formule » gouvernementale de la défense des traités de commerce… Il avise le ministre de la Marine et des Colonies [Krantz] d’une réunion de la commission des finances au sujet du budget de son département… Il n’a rien reçu de Baudrillard, et demande à un cher maître s’il a lu « la discussion anglaise sur la crise et la banque »… Il prévient de l’arrivée du « malheureux enfant Thibaut », arrivé dans la nuit après avoir escaladé un mur… On joint une LAS de son père Horace Say à loui Passy, 15 janvier 1851, et une de Louis Wolowski comme représentant de la Seine ; plus 2 documents
Léon SAY (1826-1896) homme politique et économiste 9 LAS et 1 LS, 1872-1888 et sd, la plupart à son ami Louis Passy ; 16 pages et quart formats divers, qqs en-têtes Longue lettre du 13 avril [1875], à propos des indemnités à payer à l’Allemagne : le ministre des Affaires étrangères Decazes est inquiet de « l’attitude de l’Allemagne » à l’égard du projet d’emprunt « Il faut donc trouver ce que j’appellerai une pièce de rechange » : deux dotations réunies, « 100 000 000 à prendre dans un coin », etc ; « comme dans toutes les affaires, il suffit d’avoir le bout de corde »… Il entretient Passy de modifications à apporter à une lettre à Decazes, lui demande de répondre à sa demande de rester sous-secrétaire d’État, et de prendre près de lui son ancien secrétaire Foyat, indique la « formule » gouvernementale de la défense des traités de commerce… Il avise le ministre de la Marine et des Colonies [Krantz] d’une réunion de la commission des finances au sujet du budget de son département… Il n’a rien reçu de Baudrillard, et demande à un cher maître s’il a lu « la discussion anglaise sur la crise et la banque »… Il prévient de l’arrivée du « malheureux enfant Thibaut », arrivé dans la nuit après avoir escaladé un mur… On joint une LAS de son père Horace Say à loui Passy, 15 janvier 1851, et une de Louis Wolowski comme représentant de la Seine ; plus 2 documents
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