RALPH MEYER UNDERTAKER LA DANSE DES VAUTOURS (T.2), DARGAUD 2015 Couverture originale. Signée. Acrylique sur papier 50 X 65 CM (19,69 X 25,59 IN.) Ce qui tranche d’entrée dans Undertaker , c’est le héros : un croque-mort très éloigné de ceux de Lucky Luke , séduisant, élégant, en haut-de-forme et costume de ville. Mais qui attire les ennuis aussi sûrement qu’un cadavre les vautours. Dès la parution du premier volume, la critique unanime salue le retour d’un grand western classique comme on n’en faisait plus depuis Blueberry . Heureuse comparaison : le scénariste Xavier Dorison adore autant que Ralph Meyer le cow-boy de Charlier et Giraud. Forts de cette influence, ils font de cette série une oeuvre très personnelle et donnent un nouveau souffle au western, en inscrivant leur propos dans un classicisme assumé qui n’enlève rien à leur modernité. Nous en avons un exemple avec cette couverture : une composition classique dans laquelle toutes les lignes de fuite convergent vers le centre de l’image où se tient le héros, seul en dehors des vautours qui l’entourent. Les roches, quant à elles, ont une couleur sang subjective très moderne. Une peinture parfaitement maîtrisée sur laquelle l’ombre tutélaire de Jean Giraud plane encore.
RALPH MEYER UNDERTAKER LA DANSE DES VAUTOURS (T.2), DARGAUD 2015 Couverture originale. Signée. Acrylique sur papier 50 X 65 CM (19,69 X 25,59 IN.) Ce qui tranche d’entrée dans Undertaker , c’est le héros : un croque-mort très éloigné de ceux de Lucky Luke , séduisant, élégant, en haut-de-forme et costume de ville. Mais qui attire les ennuis aussi sûrement qu’un cadavre les vautours. Dès la parution du premier volume, la critique unanime salue le retour d’un grand western classique comme on n’en faisait plus depuis Blueberry . Heureuse comparaison : le scénariste Xavier Dorison adore autant que Ralph Meyer le cow-boy de Charlier et Giraud. Forts de cette influence, ils font de cette série une oeuvre très personnelle et donnent un nouveau souffle au western, en inscrivant leur propos dans un classicisme assumé qui n’enlève rien à leur modernité. Nous en avons un exemple avec cette couverture : une composition classique dans laquelle toutes les lignes de fuite convergent vers le centre de l’image où se tient le héros, seul en dehors des vautours qui l’entourent. Les roches, quant à elles, ont une couleur sang subjective très moderne. Une peinture parfaitement maîtrisée sur laquelle l’ombre tutélaire de Jean Giraud plane encore.
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