Romain ROLLAND (1866-1944). 4 L.A.S., 1930-1944 ; 5 pages et demie in-8. Villeneuve (Vaud) 1er décembre 1930. Il ne fait plus de conférences ; sa santé le lui interdit, et il a les broches malades. « Je regrette beaucoup de ne pouvoir m’entretenir avec vous et avec les “montagnons” de Pontarlier »... 19 mars 1939, à un ami : « Je suis maintenant domicilié en France, à Vézelay [...]. J’espère vous y revoir, un jour »...Paris 19 octobre 1944, [au Dr Pierre Ameville]. Il explique comment il se fait soigner à la clinique du Dr Mondor, et non rue Oudinot, près d’Ameville, le médecin « dans les mains de qui j’ai remis la direction de ma santé ». Tout s’est passé par l’intermédiaire de Mme Vildrac, qui devait « s’entendre avec Dr Mondor, pour nous admettre dans la clinique, – mais à la condition formelle que vous m’y soigneriez »... 29 novembre. Immobilisé dans sa chambre, il rend compte au médecin de son état, amélioré du « point de vue intestinal », malgré sa crainte récente d’un refroidissement. L’auscultation n’a rien décelé. « J’ai seulement de petites toux mécaniques d’essoufflement. […] Je suis sujet, je crois, à de petites poussées congestives de la trachée. L’hiver dernier, j’ai beaucoup souffert de douleurs aigües, des deux côtés de la poitrine [...] Maintenant, s’annoncent des douleurs semblables, à la base du crâne »...
Romain ROLLAND (1866-1944). 4 L.A.S., 1930-1944 ; 5 pages et demie in-8. Villeneuve (Vaud) 1er décembre 1930. Il ne fait plus de conférences ; sa santé le lui interdit, et il a les broches malades. « Je regrette beaucoup de ne pouvoir m’entretenir avec vous et avec les “montagnons” de Pontarlier »... 19 mars 1939, à un ami : « Je suis maintenant domicilié en France, à Vézelay [...]. J’espère vous y revoir, un jour »...Paris 19 octobre 1944, [au Dr Pierre Ameville]. Il explique comment il se fait soigner à la clinique du Dr Mondor, et non rue Oudinot, près d’Ameville, le médecin « dans les mains de qui j’ai remis la direction de ma santé ». Tout s’est passé par l’intermédiaire de Mme Vildrac, qui devait « s’entendre avec Dr Mondor, pour nous admettre dans la clinique, – mais à la condition formelle que vous m’y soigneriez »... 29 novembre. Immobilisé dans sa chambre, il rend compte au médecin de son état, amélioré du « point de vue intestinal », malgré sa crainte récente d’un refroidissement. L’auscultation n’a rien décelé. « J’ai seulement de petites toux mécaniques d’essoufflement. […] Je suis sujet, je crois, à de petites poussées congestives de la trachée. L’hiver dernier, j’ai beaucoup souffert de douleurs aigües, des deux côtés de la poitrine [...] Maintenant, s’annoncent des douleurs semblables, à la base du crâne »...
Try LotSearch and its premium features for 7 days - without any costs!
Be notified automatically about new items in upcoming auctions.
Create an alert