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Auction archive: Lot number 131

1983 Ferrari 512BBi Berlinetta Boxer Coachwork by by Pininfarina Chassis no. 51333 Engine no. 51333

Estimate
€0
Price realised:
€86,250
ca. US$125,594
Auction archive: Lot number 131

1983 Ferrari 512BBi Berlinetta Boxer Coachwork by by Pininfarina Chassis no. 51333 Engine no. 51333

Estimate
€0
Price realised:
€86,250
ca. US$125,594
Beschreibung:

A la fin des années 1960, Ferrari subit les critiques pour ne pas suivre la tendance et répondre à ses rivaux, comme Lamborghini et sa Miura, avec une voiture à moteur central-arrière. La marque a été lente, en Formule 1, à placer le moteur derrière le pilote, mais lorsqu'elle l'a fait le résultat a été l'immortelle T156 "nez de requin" qui a offert à Phil Hill le championnat du monde 1961. A la fin de la décennie, Ferrari a engrangé toute l'expérience nécessaire concernant les voitures à moteur central et en connaît les pièges aussi bien que les avantages. Ainsi, quand la marque lance la Berlinetta Boxer en 1973, la disposition mécanique est pleinement maîtrisée, bien que la position du moteur paraisse moins importante que le fait de mettre au point un digne successeur à la Daytona à moteur avant, tâche ô combien difficile. La Berlinetta Boxer est une voiture compacte, de 50 mm plus courte que la 308, ce qui doit lui permettre, par exemple, d'évoluer à haute vitesse dans les cols alpins. Et elle est particulièrement belle, le dessin de Pininfarina restant en production pendant douze longues années. La 512 BB reçoit un châssis multitubulaire et sa suspension à roues indépendantes reflète l'expérience de Ferrari en compétition. Au cœur de l'auto repose le douze cylindres à plat double arbre à cames en tête, qui doit lui aussi son développement au programme compétition de Ferrari. Les premières versions sont produites avec un moteur 4,4 litres, mais les modèles ultérieurs reçoivent un 5 litres alimenté par carburateurs, développant 360 ch et, plus important pour un usage routier, un couple maxi de 45 mkg à régime moyen. Ferrari annonce une vitesse de pointe de 282 km/h, le 0 à 100 étant couvert en 6,3 secondes. Pour une fois, ces chiffres sont assez fidèles à la réalité. En 1981, la voiture est mise au goût du jour avec une alimentation par injection Bosch, prenant alors le nom de 512 BBi. La puissance maxi n'est pas affectée, mais elle est disponible à plus bas régime, et le couple augmente encore. "La Boxer a tout pour elle. La vitesse, le comportement, la forme élégante, l'habitacle bien traité et, le plus important de tout, une réputation de fiabilité", s'enthousiasme le magazine Road & Track. Excellent exemple de Berlinetta Boxer dans sa version ultime 512 BBi à injection, la voiture immatriculée en France que nous proposons ici était présente à la vente aux enchères du Mans Classic en 2006 (lot 099). A cette époque, elle avait couvert 18 912 km depuis l'origine et, aujourd'hui, le compteur en affiche un modeste 22 000. Faisant anciennement partie de la collection de feu Robert Noortman et toujours entretenue par lui sans considération de coût, "51333" est restée en excellent état. Elle bénéficie de la rare et désirable combinaison de peinture noire et sellerie cuir magnolia à passepoils noirs, et comporte un poste de radio/cassette d'époque (fabriqué par Pioneer pour Ferrari). Une révision complète a été effectuée récemment (en juin 2007), incluant un nouvelle courroie de distribution, le remplacement préventif des soupapes d'échappement, un embrayage neuf et un entretien complet du système d'air conditionné, les travaux ayant été menés à bien par les anciens mécaniciens de Pozzi Martial et Jean-Louis Préaubert, de V12 Automobiles, à Saint-Brice (factures dans le dossier). Une des 1 007 Ferrari Berlinetta Boxer produites, "51333" est un bel exemplaire de ce modèle très envié et toujours capable de performances exceptionnelles aussi bien sur route que sur piste. Les exemplaires dans cet état sont rares, d'autant plus avec cette combinaison de teintes inhabituelle, discrète et élégante. Il s'agit d'un "supercar" affichant peu de kilomètres et méritant que l'on s'y intéresse de près. Ferrari was criticised in the late 1960s for not jumping on the bandwagon and making a mid-engined road car like rivals Lamborghini. It had been slow to put the engine behind the driver in Formula 1, but when it did so the result was the immortal

Auction archive: Lot number 131
Auction:
Datum:
26 Sep 2009
Auction house:
Bonhams London
Reims
Beschreibung:

A la fin des années 1960, Ferrari subit les critiques pour ne pas suivre la tendance et répondre à ses rivaux, comme Lamborghini et sa Miura, avec une voiture à moteur central-arrière. La marque a été lente, en Formule 1, à placer le moteur derrière le pilote, mais lorsqu'elle l'a fait le résultat a été l'immortelle T156 "nez de requin" qui a offert à Phil Hill le championnat du monde 1961. A la fin de la décennie, Ferrari a engrangé toute l'expérience nécessaire concernant les voitures à moteur central et en connaît les pièges aussi bien que les avantages. Ainsi, quand la marque lance la Berlinetta Boxer en 1973, la disposition mécanique est pleinement maîtrisée, bien que la position du moteur paraisse moins importante que le fait de mettre au point un digne successeur à la Daytona à moteur avant, tâche ô combien difficile. La Berlinetta Boxer est une voiture compacte, de 50 mm plus courte que la 308, ce qui doit lui permettre, par exemple, d'évoluer à haute vitesse dans les cols alpins. Et elle est particulièrement belle, le dessin de Pininfarina restant en production pendant douze longues années. La 512 BB reçoit un châssis multitubulaire et sa suspension à roues indépendantes reflète l'expérience de Ferrari en compétition. Au cœur de l'auto repose le douze cylindres à plat double arbre à cames en tête, qui doit lui aussi son développement au programme compétition de Ferrari. Les premières versions sont produites avec un moteur 4,4 litres, mais les modèles ultérieurs reçoivent un 5 litres alimenté par carburateurs, développant 360 ch et, plus important pour un usage routier, un couple maxi de 45 mkg à régime moyen. Ferrari annonce une vitesse de pointe de 282 km/h, le 0 à 100 étant couvert en 6,3 secondes. Pour une fois, ces chiffres sont assez fidèles à la réalité. En 1981, la voiture est mise au goût du jour avec une alimentation par injection Bosch, prenant alors le nom de 512 BBi. La puissance maxi n'est pas affectée, mais elle est disponible à plus bas régime, et le couple augmente encore. "La Boxer a tout pour elle. La vitesse, le comportement, la forme élégante, l'habitacle bien traité et, le plus important de tout, une réputation de fiabilité", s'enthousiasme le magazine Road & Track. Excellent exemple de Berlinetta Boxer dans sa version ultime 512 BBi à injection, la voiture immatriculée en France que nous proposons ici était présente à la vente aux enchères du Mans Classic en 2006 (lot 099). A cette époque, elle avait couvert 18 912 km depuis l'origine et, aujourd'hui, le compteur en affiche un modeste 22 000. Faisant anciennement partie de la collection de feu Robert Noortman et toujours entretenue par lui sans considération de coût, "51333" est restée en excellent état. Elle bénéficie de la rare et désirable combinaison de peinture noire et sellerie cuir magnolia à passepoils noirs, et comporte un poste de radio/cassette d'époque (fabriqué par Pioneer pour Ferrari). Une révision complète a été effectuée récemment (en juin 2007), incluant un nouvelle courroie de distribution, le remplacement préventif des soupapes d'échappement, un embrayage neuf et un entretien complet du système d'air conditionné, les travaux ayant été menés à bien par les anciens mécaniciens de Pozzi Martial et Jean-Louis Préaubert, de V12 Automobiles, à Saint-Brice (factures dans le dossier). Une des 1 007 Ferrari Berlinetta Boxer produites, "51333" est un bel exemplaire de ce modèle très envié et toujours capable de performances exceptionnelles aussi bien sur route que sur piste. Les exemplaires dans cet état sont rares, d'autant plus avec cette combinaison de teintes inhabituelle, discrète et élégante. Il s'agit d'un "supercar" affichant peu de kilomètres et méritant que l'on s'y intéresse de près. Ferrari was criticised in the late 1960s for not jumping on the bandwagon and making a mid-engined road car like rivals Lamborghini. It had been slow to put the engine behind the driver in Formula 1, but when it did so the result was the immortal

Auction archive: Lot number 131
Auction:
Datum:
26 Sep 2009
Auction house:
Bonhams London
Reims
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