Aaron Martinet et autres éditeurs français de caricatures, du début du XIXème siècle Collection de 8 caricatures des suites «Le Bon Ton», «Le Suprême Bon Ton», «Le musée grotesque», «Le bon genre», etc. Gravures et/ou lithographies au trait en très beau coloris d'époque Parmi elles on notera: Un Anglais d'autrefois, le Perruquier aux aboyes, quelques costumes français et uniformes anglais, Les Montagnes russes dans la salle de l'Odéon, Il faut des contrastes, Incroyables, Conseil des Anciens de la Galerie Auvergnate, Lady Forme et la Miss-érable… Feuilles: H. 24 cm - L. 31 cm à H. 21 cm - L. 26 cm (à vue) AC Rousseurs, piqûres, défauts et accidents. Aaron Martinet (1762 - 1841) est surtout connu pour sa série de caricatures sur la mode appelée Le Suprême Bon Ton, publiée à Paris au début du XIXe siècle en collaboration avec Adrien Godefroy. Cette collection de gravures représente des scènes de la vie parisienne, notamment des femmes élégantes dans des tenues à la mode. Les caricatures ont été publiées sous forme de livrets annuels appelés "étrennes". Le Suprême Bon Ton est considéré comme l'un des plus beaux exemples de la caricature française du XIXe siècle. C'est lors de l'avènement du Directoire qu'il a entrepris de s'établir marchand d'estampes et éditeur. Avec sa femme et sa fille, il s'est installé au 124 rue du Coq-Saint-Honoré, une rue très commerçante où l'on trouvait plusieurs libraires, des marchands d'estampes et un café. Martinet est devenu l'un des vendeurs d'estampes les plus célèbres de Paris sous le Consulat et l'Empire. Dans sa boutique, on se pressait pour admirer les costumes de théâtre, les portraits d'acteurs et de musiciens ainsi que les uniformes des troupes françaises et étrangères. Mais ce sont principalement les caricatures qui ont fait le succès et la renommée de sa boutique.
Aaron Martinet et autres éditeurs français de caricatures, du début du XIXème siècle Collection de 8 caricatures des suites «Le Bon Ton», «Le Suprême Bon Ton», «Le musée grotesque», «Le bon genre», etc. Gravures et/ou lithographies au trait en très beau coloris d'époque Parmi elles on notera: Un Anglais d'autrefois, le Perruquier aux aboyes, quelques costumes français et uniformes anglais, Les Montagnes russes dans la salle de l'Odéon, Il faut des contrastes, Incroyables, Conseil des Anciens de la Galerie Auvergnate, Lady Forme et la Miss-érable… Feuilles: H. 24 cm - L. 31 cm à H. 21 cm - L. 26 cm (à vue) AC Rousseurs, piqûres, défauts et accidents. Aaron Martinet (1762 - 1841) est surtout connu pour sa série de caricatures sur la mode appelée Le Suprême Bon Ton, publiée à Paris au début du XIXe siècle en collaboration avec Adrien Godefroy. Cette collection de gravures représente des scènes de la vie parisienne, notamment des femmes élégantes dans des tenues à la mode. Les caricatures ont été publiées sous forme de livrets annuels appelés "étrennes". Le Suprême Bon Ton est considéré comme l'un des plus beaux exemples de la caricature française du XIXe siècle. C'est lors de l'avènement du Directoire qu'il a entrepris de s'établir marchand d'estampes et éditeur. Avec sa femme et sa fille, il s'est installé au 124 rue du Coq-Saint-Honoré, une rue très commerçante où l'on trouvait plusieurs libraires, des marchands d'estampes et un café. Martinet est devenu l'un des vendeurs d'estampes les plus célèbres de Paris sous le Consulat et l'Empire. Dans sa boutique, on se pressait pour admirer les costumes de théâtre, les portraits d'acteurs et de musiciens ainsi que les uniformes des troupes françaises et étrangères. Mais ce sont principalement les caricatures qui ont fait le succès et la renommée de sa boutique.
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