Alexandre BIDA (1823-1895) (d’après) Le Mur des Lamentations Gravure avant la lettre (rousseurs). D’après le dessin original conservé au musée national des Châteaux de Malmaison et Bois-Préau. Dédicacée par Osiris à son plus grand admirateur et ami à l’illustre Bida. 52 x 62,5 cm Le dessin d’Alexandre Bida intitulé Le Mur de Salomon fait partie des œuvres originales offertes par Osiris à l’état. Placé à l’origine dans la chambre qu’Osiris occupait dans son hôtel particulier de la rue La Bruyère à Paris, ce grand dessin avait été exposé au salon de 1857 et Osiris était très fier de cette acquisition. Aujourd’hui encore, cette œuvre a une forte identité religieuse qui lui vaut une grande notoriété. Daniel Iffla (1825-1907), qui changea à 35 ans, en 1861, son patronyme en Osiris, était un financier, patriote, collectionneur, mécène et philanthrope français juif. Il finança la construction de plusieurs synagogues, dont la grande synagogue de Tunis et celle de la rue Buffault à Paris, qu’il consacra à la conservation du rite portugais. Il fit également don du château de Malmaison et d’une importante collection d’art à l’État.
Alexandre BIDA (1823-1895) (d’après) Le Mur des Lamentations Gravure avant la lettre (rousseurs). D’après le dessin original conservé au musée national des Châteaux de Malmaison et Bois-Préau. Dédicacée par Osiris à son plus grand admirateur et ami à l’illustre Bida. 52 x 62,5 cm Le dessin d’Alexandre Bida intitulé Le Mur de Salomon fait partie des œuvres originales offertes par Osiris à l’état. Placé à l’origine dans la chambre qu’Osiris occupait dans son hôtel particulier de la rue La Bruyère à Paris, ce grand dessin avait été exposé au salon de 1857 et Osiris était très fier de cette acquisition. Aujourd’hui encore, cette œuvre a une forte identité religieuse qui lui vaut une grande notoriété. Daniel Iffla (1825-1907), qui changea à 35 ans, en 1861, son patronyme en Osiris, était un financier, patriote, collectionneur, mécène et philanthrope français juif. Il finança la construction de plusieurs synagogues, dont la grande synagogue de Tunis et celle de la rue Buffault à Paris, qu’il consacra à la conservation du rite portugais. Il fit également don du château de Malmaison et d’une importante collection d’art à l’État.
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