AUDIBERTI, Jacques Grande composition fantastique Dessin original, signé et daté " Audiberti 49 ", en bas. Gouache, aquarelle, encre de Chine et fusain, 62, 5 x 48 cm, quelques déchirures marginales avec petits manques, encadrement sous verre. Une spectaculaire composition dans laquelle un personnage masculin, avec bras dressés et traîne de flammes lui sommant le crâne, se trouve pris au centre d'un groupe de personnages féminins aux traits grotesques qui, agenouillés, cherchent à l'attirer. " J'étais le myriadaire, le colossal grouillement des identités et des multitudes depuis le commencement, tant de bras, tant de cœurs, tant de pieds, tant de mots. " (Talent, 1947). Une des œuvres les plus ambitieuses d'Audiberti. S'adonnant au dessin et à la peinture, il a laissé des autoportraits, des caricatures et personnages chimériques, mais bien peu d'œuvres dans un tel format. Il illustra un de ses propres ouvrages La Fin du monde (1944), et bénéficia de quelques expositions en galeries. Bibliographie - DESSINS D'ECRIVAINS. Paris, Éditions du Chêne, 2003. Reproduction p. 121. - FAUCHEREAU (Serge). Peintures et dessins d'écrivains. Paris, Éditions Belfond, 1991. Reproduction p. 205. - LINARES (Serge). Écrivains artistes. Paris, Citadelles et Mazenod, 2011. Reproduction n° 94 p. 111.
AUDIBERTI, Jacques Grande composition fantastique Dessin original, signé et daté " Audiberti 49 ", en bas. Gouache, aquarelle, encre de Chine et fusain, 62, 5 x 48 cm, quelques déchirures marginales avec petits manques, encadrement sous verre. Une spectaculaire composition dans laquelle un personnage masculin, avec bras dressés et traîne de flammes lui sommant le crâne, se trouve pris au centre d'un groupe de personnages féminins aux traits grotesques qui, agenouillés, cherchent à l'attirer. " J'étais le myriadaire, le colossal grouillement des identités et des multitudes depuis le commencement, tant de bras, tant de cœurs, tant de pieds, tant de mots. " (Talent, 1947). Une des œuvres les plus ambitieuses d'Audiberti. S'adonnant au dessin et à la peinture, il a laissé des autoportraits, des caricatures et personnages chimériques, mais bien peu d'œuvres dans un tel format. Il illustra un de ses propres ouvrages La Fin du monde (1944), et bénéficia de quelques expositions en galeries. Bibliographie - DESSINS D'ECRIVAINS. Paris, Éditions du Chêne, 2003. Reproduction p. 121. - FAUCHEREAU (Serge). Peintures et dessins d'écrivains. Paris, Éditions Belfond, 1991. Reproduction p. 205. - LINARES (Serge). Écrivains artistes. Paris, Citadelles et Mazenod, 2011. Reproduction n° 94 p. 111.
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