AURIOL (Vincent) homme politique français, président de la IV république (1884-1966) Deux lettres autographes signées à ses «Chers Gaby et Pierre », [Gabrielle et Jean-Pierre Bloch]. 1 p. in-8. Paris, 0 juillet (probablement de 1945) avec en-tête « Assemblée consultative provisoire » et 3 pp. petit in-8. (29 août 1956) Belles lettres. Il regrette de n’avoir pas pu être présent à l’occasion de son discours, « mais nos amis me disent que tu as prononcé un discours….précis et puissant ». Il s’en réjouit « pour le parti et pour toi ». Les lettres concernant cette période sont rares. 29 août 1956. Il lui rappelle qu’il n’a jamais douté de leur amitié. « J’en ai toujours eu les preuves dans le malheur, dans les jours de gloire et aujourd’hui dans ma retraite lointaine. Et les vrais amis sont rares ». Avoir pensé à lui souhaiter ses 72 ans, lui rappelle bien des choses. « à nos luttes à Alger… à tes combats, aux injustices, aux calomnies, aux lâchetés des copains….. ». On joint une lettre du socialiste Albert Paulin adressée à JP. Bloch, datée du 28 février 1942, relative à son emprisonnement à la prison de Périgueux où il restera plusieurs mois avant d’être transféré au camp de Mauzac.
AURIOL (Vincent) homme politique français, président de la IV république (1884-1966) Deux lettres autographes signées à ses «Chers Gaby et Pierre », [Gabrielle et Jean-Pierre Bloch]. 1 p. in-8. Paris, 0 juillet (probablement de 1945) avec en-tête « Assemblée consultative provisoire » et 3 pp. petit in-8. (29 août 1956) Belles lettres. Il regrette de n’avoir pas pu être présent à l’occasion de son discours, « mais nos amis me disent que tu as prononcé un discours….précis et puissant ». Il s’en réjouit « pour le parti et pour toi ». Les lettres concernant cette période sont rares. 29 août 1956. Il lui rappelle qu’il n’a jamais douté de leur amitié. « J’en ai toujours eu les preuves dans le malheur, dans les jours de gloire et aujourd’hui dans ma retraite lointaine. Et les vrais amis sont rares ». Avoir pensé à lui souhaiter ses 72 ans, lui rappelle bien des choses. « à nos luttes à Alger… à tes combats, aux injustices, aux calomnies, aux lâchetés des copains….. ». On joint une lettre du socialiste Albert Paulin adressée à JP. Bloch, datée du 28 février 1942, relative à son emprisonnement à la prison de Périgueux où il restera plusieurs mois avant d’être transféré au camp de Mauzac.
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