Moutons à la Campagne
Huile sur panneau parqueté, signée en bas à droite, restauration à finir. Dimensions : 42,5 x 36 cm Nul mieux que Ommeganck ne montre combien sont fragiles les réputations basées sur la technique précieuse, sur l’Art du fini, sur le ficelage suivant l’expression des peintres. De son vivant, Ommeganck eut un tel succès que toutes ses productions étaient placées à l’avance. L’Impératrice Joséphine ajoutait chaque année un nouveau tableau de lui à sa collection. On l’appelait Raphaël, puis le Racine des moutons… Aujourd’hui, ses œuvres sont rares, parce que placées dans de grandes collections ou musées, comme le Louvre ! Paysagiste et dessinateur, il peint surtout des paysages avec moutons et bestiaux. Il étudie à l’Académie d’Anvers et est l’élève d’Antonissen dès 1767. Doyen de la Guilde de Saint-Luc, il est co-fondateur de la société « Kunstmaatschappij appelée dès 1811, Société Royale d’Encouragement des Beaux-Arts. Professeur à l’Académie d’Anvers en 1796, il est également membre des Académies d’Amsterdam, Bruxelles, Gand, Munich et Vienne, ainsi que de l’Institut de France en 1809. Son succès est énorme, et dès 1799, il obtient à Paris le premier prix de peinture. C’est l’un des plus grands paysagistes animalier de son temps avec son élvèe Eugène Verboeckhoven.
Moutons à la Campagne
Huile sur panneau parqueté, signée en bas à droite, restauration à finir. Dimensions : 42,5 x 36 cm Nul mieux que Ommeganck ne montre combien sont fragiles les réputations basées sur la technique précieuse, sur l’Art du fini, sur le ficelage suivant l’expression des peintres. De son vivant, Ommeganck eut un tel succès que toutes ses productions étaient placées à l’avance. L’Impératrice Joséphine ajoutait chaque année un nouveau tableau de lui à sa collection. On l’appelait Raphaël, puis le Racine des moutons… Aujourd’hui, ses œuvres sont rares, parce que placées dans de grandes collections ou musées, comme le Louvre ! Paysagiste et dessinateur, il peint surtout des paysages avec moutons et bestiaux. Il étudie à l’Académie d’Anvers et est l’élève d’Antonissen dès 1767. Doyen de la Guilde de Saint-Luc, il est co-fondateur de la société « Kunstmaatschappij appelée dès 1811, Société Royale d’Encouragement des Beaux-Arts. Professeur à l’Académie d’Anvers en 1796, il est également membre des Académies d’Amsterdam, Bruxelles, Gand, Munich et Vienne, ainsi que de l’Institut de France en 1809. Son succès est énorme, et dès 1799, il obtient à Paris le premier prix de peinture. C’est l’un des plus grands paysagistes animalier de son temps avec son élvèe Eugène Verboeckhoven.
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