Clémentine d'Orléans, princesse de SAXE-COBOURG (1817-1907) fille de Louis-Philippe, épouse (1843) d'Auguste de Saxe-Cobourg (1818-1881).Lettre autographe signée «Clémentine», Randan 22 mai 1842, à sa mère la Reine Marie-Amélie; 2 pages et demie in-8.Séjournant au château de sa tante Madame Adélaïde, elle a reçu la lettre de sa mère. «Les réponses me paraissent très satisfaisantes sous tous les rapports, même celui de la pension sur laquelle on pourra obtenir quelques modifications sur les autres points il me semble que le père doit en être content [...]. Je suis bien soulagée ce matin car ma tante a bien pris ce que je lui ai dit, elle m'a accueillie lorsque je suis arrivée chez elle en me disant eh bien ma chère c'est beaucoup mieux que je ne croyais ! Ma pauvre petite ton père est plus content, &c &c. Enfin elle est de bonne humeur, vous jugez si j'ai été soulagée moi qui m'attendais à un orage. Au contraire, elle me paraît très revenue sur ses idées premières: il n'y a que la pension qui comme moi l'arrête, car c'est pour la meilleure partie de la vie, ce pauvre Pce Ferdinand peut vivre très longtems et je le désire ! Enfin nous causerons de tout cela ensemble la semaine prochaine»...
Clémentine d'Orléans, princesse de SAXE-COBOURG (1817-1907) fille de Louis-Philippe, épouse (1843) d'Auguste de Saxe-Cobourg (1818-1881).Lettre autographe signée «Clémentine», Randan 22 mai 1842, à sa mère la Reine Marie-Amélie; 2 pages et demie in-8.Séjournant au château de sa tante Madame Adélaïde, elle a reçu la lettre de sa mère. «Les réponses me paraissent très satisfaisantes sous tous les rapports, même celui de la pension sur laquelle on pourra obtenir quelques modifications sur les autres points il me semble que le père doit en être content [...]. Je suis bien soulagée ce matin car ma tante a bien pris ce que je lui ai dit, elle m'a accueillie lorsque je suis arrivée chez elle en me disant eh bien ma chère c'est beaucoup mieux que je ne croyais ! Ma pauvre petite ton père est plus content, &c &c. Enfin elle est de bonne humeur, vous jugez si j'ai été soulagée moi qui m'attendais à un orage. Au contraire, elle me paraît très revenue sur ses idées premières: il n'y a que la pension qui comme moi l'arrête, car c'est pour la meilleure partie de la vie, ce pauvre Pce Ferdinand peut vivre très longtems et je le désire ! Enfin nous causerons de tout cela ensemble la semaine prochaine»...
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