Ecrivain surnommé le «Connétable des lettres». Lettre autographe signée, rédigée à l'encre rouge, adressée de Paris, sur son papier à lettre, à la devise de «Never more», à la Comtesse de Brigode (avec enveloppe). Celui-ci remercie la Comtesse pour son invitation espérant la rencontrer chez la Baronne de Poilly. Barbey ponctue sa lettre par ses mots «Je ne crois jamais à ce que je désire le plus». Il est joint trois lettres autographes signées de Charles Buet, ami, disciple et biographe de Barbey d'Aurevilly, dans lesquelles il parle notamment de son livre sur Barbey et des deux contes «La Tour griffe d'or» et «Enfants de Paris» dont il envisage la publication. Il est joint également une chanson sous la forme d'un poème manuscrit intitulé «Le Cachenez», écrite et signée par le Père d'Aurevilly, Missionnaire Eudiste, frère du grand écrivain. Le manuscrit inédit est formé de trois pages et demi, in-8. Il est joint en outre, une importante correspondance, adressée à Barbey, composé de lettres autographes signées par Albert Robin, Catulle Mendès, Marthe Brandès, Joséphin Péladan (2), Victor Duruy (accompagnée d'une photographie originale), Auguste Rodin Gabriel Hanotaux, Mary Creal-O'Connell, la Baronne de Poilly (3), Arsène Houssaye la Comtesse de Brigode (5), Fernand Engerand, Lucien Descaves, Frédéric Masson (3), Félix Buhot, Gabriel Collin, Joseph de Barrigue de Fontainieu, Eugénie Dedieu, la Comtesse Vera Krasnowska et quelques autres. Il est joint encore trois copies de lettres adressées à une dame, ainsi qu'un portrait photographique par Poirel, et une autre photographie représentant le buste de Peladan et celui de Barbey dans l'atelier de Charles Astruc. Pour finir, il est joint, huit lettres autographes signées entre 1915 et 1922, de Louise Read (1849-1928), dernière rencontre féminine de l'écrivain, en 1879, qui se dévouera à sa gloire et deviendra son légateur universelle.
Ecrivain surnommé le «Connétable des lettres». Lettre autographe signée, rédigée à l'encre rouge, adressée de Paris, sur son papier à lettre, à la devise de «Never more», à la Comtesse de Brigode (avec enveloppe). Celui-ci remercie la Comtesse pour son invitation espérant la rencontrer chez la Baronne de Poilly. Barbey ponctue sa lettre par ses mots «Je ne crois jamais à ce que je désire le plus». Il est joint trois lettres autographes signées de Charles Buet, ami, disciple et biographe de Barbey d'Aurevilly, dans lesquelles il parle notamment de son livre sur Barbey et des deux contes «La Tour griffe d'or» et «Enfants de Paris» dont il envisage la publication. Il est joint également une chanson sous la forme d'un poème manuscrit intitulé «Le Cachenez», écrite et signée par le Père d'Aurevilly, Missionnaire Eudiste, frère du grand écrivain. Le manuscrit inédit est formé de trois pages et demi, in-8. Il est joint en outre, une importante correspondance, adressée à Barbey, composé de lettres autographes signées par Albert Robin, Catulle Mendès, Marthe Brandès, Joséphin Péladan (2), Victor Duruy (accompagnée d'une photographie originale), Auguste Rodin Gabriel Hanotaux, Mary Creal-O'Connell, la Baronne de Poilly (3), Arsène Houssaye la Comtesse de Brigode (5), Fernand Engerand, Lucien Descaves, Frédéric Masson (3), Félix Buhot, Gabriel Collin, Joseph de Barrigue de Fontainieu, Eugénie Dedieu, la Comtesse Vera Krasnowska et quelques autres. Il est joint encore trois copies de lettres adressées à une dame, ainsi qu'un portrait photographique par Poirel, et une autre photographie représentant le buste de Peladan et celui de Barbey dans l'atelier de Charles Astruc. Pour finir, il est joint, huit lettres autographes signées entre 1915 et 1922, de Louise Read (1849-1928), dernière rencontre féminine de l'écrivain, en 1879, qui se dévouera à sa gloire et deviendra son légateur universelle.
Try LotSearch and its premium features for 7 days - without any costs!
Be notified automatically about new items in upcoming auctions.
Create an alert