EDGAR P. JACOBS BLAKE ET MORTIMER, S.O.S. MÉTÉORES (T.8), LE LOMBARD 1959 Calque préparatoire de la planche n° 43. Mine de plomb et encre de Chine sur calque 43,5 × 57,5 cm (17,13 × 22,64 in.) S.O.S. Météores , d’abord intitulé Mortimer à Paris , est sans conteste le grand album de la Guerre froide, imaginant une attaque terroriste coordonnée contre l’OTAN, à l’époque où son siège était encore situé dans la région parisienne. Le processus de création est typique de la Ligne claire : par un système de calques, on épure la ligne avant de la reporter, grâce à une table lumineuse, sur la planche définitive. Un procédé que les peintres du Quattrocento utilisaient déjà pour reporter leurs croquis sur toiles. Peintre de formation, Jacobs en connaissait tous les secrets. Il faut comparer cette page à la version finale de la séquence haletante où Olrik est traqué sur les toits de Paris par le capitaine Blake et son homologue de la police parisienne, Pradier. Rien n’est omis, la finition se focalisant d’abord sur les armes brandies par les personnages pour lesquelles Edgar P. Jacobs avait, comme à son habitude, une documentation précise.
EDGAR P. JACOBS BLAKE ET MORTIMER, S.O.S. MÉTÉORES (T.8), LE LOMBARD 1959 Calque préparatoire de la planche n° 43. Mine de plomb et encre de Chine sur calque 43,5 × 57,5 cm (17,13 × 22,64 in.) S.O.S. Météores , d’abord intitulé Mortimer à Paris , est sans conteste le grand album de la Guerre froide, imaginant une attaque terroriste coordonnée contre l’OTAN, à l’époque où son siège était encore situé dans la région parisienne. Le processus de création est typique de la Ligne claire : par un système de calques, on épure la ligne avant de la reporter, grâce à une table lumineuse, sur la planche définitive. Un procédé que les peintres du Quattrocento utilisaient déjà pour reporter leurs croquis sur toiles. Peintre de formation, Jacobs en connaissait tous les secrets. Il faut comparer cette page à la version finale de la séquence haletante où Olrik est traqué sur les toits de Paris par le capitaine Blake et son homologue de la police parisienne, Pradier. Rien n’est omis, la finition se focalisant d’abord sur les armes brandies par les personnages pour lesquelles Edgar P. Jacobs avait, comme à son habitude, une documentation précise.
.jpg "Source: Christie's")
.jpg "Source: Christie's")
.jpg "Source: Christie's")
.jpg "Source: Christie's")
.jpg "Source: Christie's")
.jpg "Source: Christie's")
Try LotSearch and its premium features for 7 days - without any costs!
Be notified automatically about new items in upcoming auctions.
Create an alert.jpg "Source: Christie's")
.jpg "Source: Christie's")
.jpg "Source: Christie's")
