Grand bureau plat à toutes faces en placage de bois de rose dans des encadrements de palissandre. Le plateau de forme mouvementée est gainé de maroquin rouge et est cerné d'une lingotière de bronze ornée de quatre écoinçons. La ceinture mouvementée ouvre par trois tiroirs dont celui central en léger retrait, les deux autres en caisson. Il repose sur quatre pieds cambrés. Ornementation de bronzes ciselés et dorés, poignées de tirages, entrées de serrure, agrafes rocaille ajourées séparant les tiroirs, chûtes d'angles et sabots. Epoque Louis XV, estampillé Boudin et Ellaume et poinçon de Jurande. H : 75 – L : 173 – P : 87 cm Léonard BOUDIN reçu Maître le 4 mars 1761. Jean Charles ELLAUME reçu Maître en 1754. La production de certains ébénistes était destinée à leurs confrères qui agissaient ensuite en tant que marchands merciers, ce qui explique la présence de plusieurs estampilles sur un même ouvrage. Face au développement de son activité, il est très probable que Boudin employa ainsi son estampille comme une marque de commerce et fit travailler nombre d’ébénistes. [Les ébénistes du XVIIIe siècle, leurs œuvres et leurs marques par le Comte François de Salverte, Paris, 1962, pp. 30 à 32.
Grand bureau plat à toutes faces en placage de bois de rose dans des encadrements de palissandre. Le plateau de forme mouvementée est gainé de maroquin rouge et est cerné d'une lingotière de bronze ornée de quatre écoinçons. La ceinture mouvementée ouvre par trois tiroirs dont celui central en léger retrait, les deux autres en caisson. Il repose sur quatre pieds cambrés. Ornementation de bronzes ciselés et dorés, poignées de tirages, entrées de serrure, agrafes rocaille ajourées séparant les tiroirs, chûtes d'angles et sabots. Epoque Louis XV, estampillé Boudin et Ellaume et poinçon de Jurande. H : 75 – L : 173 – P : 87 cm Léonard BOUDIN reçu Maître le 4 mars 1761. Jean Charles ELLAUME reçu Maître en 1754. La production de certains ébénistes était destinée à leurs confrères qui agissaient ensuite en tant que marchands merciers, ce qui explique la présence de plusieurs estampilles sur un même ouvrage. Face au développement de son activité, il est très probable que Boudin employa ainsi son estampille comme une marque de commerce et fit travailler nombre d’ébénistes. [Les ébénistes du XVIIIe siècle, leurs œuvres et leurs marques par le Comte François de Salverte, Paris, 1962, pp. 30 à 32.
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