Beschreibung:

Ecrivain français Ensemble de 8 lettres autographes signées, adressées à M. Amouroux. De 1948 à 1950; formats in-8°: - 4 mars 1948: «"On parle de vous, c'est une tragédie". Pour une fois on a parlé de moi, sans me blesser profondément. Merci et ne manquez pas de me faire signe, si vous revenez dans nos parages.» 7 mars 1948: «Je vous redis ma vive sympathie, bien que votre intervention à propos de Luther ou plutôt l'intervention de Luther dans votre étude me pique. Etes-vous protestant?» 28 mai 1948: «Sans doute, naturellement sensible, je souffre de cette hostilité à parti pris Les témoignages que cette diatribe a suscités m'ont consolé, le vôtre en particulier.» 23 février 1949: «Rien ne me semble justifier la colère de Mauriac dans Ménagerie. Quelques mouches l'ont piqué, à moins qu'il y ait chez lui quelque dépit. Ce doit être si humiliant d'être académicien.» 4 novembre 1949: «Je tâcherai d'avoir une classe de sixième pour vous le remettre.» 6 mai 1950: «La Providence qui menace la laine de mes brebis aux rigueurs des saisons, m'a fait recevoir votre lettre le jour même où paraissait l'éreintement d'André Rousseau dans le Figaro. Je crois qu'il ne demandait qu'à satisfaire sa haine, mais que François M. n'a pas été étranger au lancement du papier. Il paraît en effet que celui-ci a été ulcéré qu'on m'ait tressé des couronnes dans Aspects de la France en 3° page, quand on se moquait de lui en première.» Sans date: «Bien sûr je vais vous recevoir et votre femme, mais le samedi, est-ce possible?» Sans date: «J'ai sous les yeux, vous le savez, une bible de Sacy. Dans la même page, le même mot est écrit de trois manières différentes. Le livre n'en est pas moins lisible et la traduction intéressante.