PERACHON (Marc). Le Faux satyrique puni, et le merite couronné, dans une lettre d'Ariste, a l'un de ses amis, contenant l'apologie de Mr Perachon l'avocat, contre les fausses satyres du pretendu poëte sans fard, & la juste critique de ses satyres, & des faux satyriques avec la defense de plusieurs personnes qu'il a satyrisées : & le brevet du roy pour M. Perachon. Lyon, Claude Rey, 1696. Petit in-8, veau brun, triple filet d'encadrement avec poinçons aux angles, dos finement orné, roulette intérieure, tranches dorées (Koehler). Édition originale, ornée d'un titre-frontispice et une belle lettrine gravés en taille-douce. Marc Perachon (1630-1709) fut avocat à Grenoble puis au Parlement de Paris. Protestant converti au catholicisme, il obtint une pension du roi en 1687 et se retira à Lyon à la fin de sa vie. Cet ouvrage est une réponse au Poète sans fard du prêtre de l'Oratoire lyonnais François Gacon (1667-1725), parut la même année, qui se surnommait lui-même «le poète sans fard» Quelques frottements sur la reliure, quelques piqûres, cinq feuillets très légèrement grignotés sur la tranche atteignant la dorure.
PERACHON (Marc). Le Faux satyrique puni, et le merite couronné, dans une lettre d'Ariste, a l'un de ses amis, contenant l'apologie de Mr Perachon l'avocat, contre les fausses satyres du pretendu poëte sans fard, & la juste critique de ses satyres, & des faux satyriques avec la defense de plusieurs personnes qu'il a satyrisées : & le brevet du roy pour M. Perachon. Lyon, Claude Rey, 1696. Petit in-8, veau brun, triple filet d'encadrement avec poinçons aux angles, dos finement orné, roulette intérieure, tranches dorées (Koehler). Édition originale, ornée d'un titre-frontispice et une belle lettrine gravés en taille-douce. Marc Perachon (1630-1709) fut avocat à Grenoble puis au Parlement de Paris. Protestant converti au catholicisme, il obtint une pension du roi en 1687 et se retira à Lyon à la fin de sa vie. Cet ouvrage est une réponse au Poète sans fard du prêtre de l'Oratoire lyonnais François Gacon (1667-1725), parut la même année, qui se surnommait lui-même «le poète sans fard» Quelques frottements sur la reliure, quelques piqûres, cinq feuillets très légèrement grignotés sur la tranche atteignant la dorure.
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