Rue Pigalle. Paris, Grasset, 1927, in-4°, maroquin bleu, sur le premier plat, décor sculpté figurant des immeubles, pièces circulaires de maroquin rouge ou orange ornées de décors variés au palladium, étoiles au palladium, dos lisse, doublure de box et maroquin bleu dessinant un plan de Pigalle en 1927, gardes de maroquin bleu ornées d'un semis d'étoiles au palladium, couverture et dos, tranches dorées sur témoins, chemise et étui gainés de maroquin (Paul Bonet). ÉDITION ORIGINALE. Lithographies en couleurs de Marcel Vertès (1895-1961). L'un des 43 exemplaires (n° 3) sur hollande Van Gelder, accompagnés d'une suite des lithographies dans leur état noir, et noir et couleurs. Au début de la reliure sculptée. La rencontre de Paul Bonet (1889-1971) avec Giraldon en 1929 allait être déterminante dans la poursuite de son oeuvre, Giraldon étant l'exécutant parfait qu'il souhaitait depuis longtemps. C'est donc avec lui qu'il commença en 1931 cette série, ininterrompue dans son oeuvre, des reliures dites sculptées. Dessinée en 1931 pour le compte de Mme Armand Massard, cette reliure sculptée (« le décor en bas-relief ») fut achevée par Giraldon le 15 avril 1932, et ne fut jamais refaite. Dimensions : 250 x 185 mm. Provenance : Mme Armand Massard. [...], Paul Bonet, Carnets 1924-1971, n° 206.
Rue Pigalle. Paris, Grasset, 1927, in-4°, maroquin bleu, sur le premier plat, décor sculpté figurant des immeubles, pièces circulaires de maroquin rouge ou orange ornées de décors variés au palladium, étoiles au palladium, dos lisse, doublure de box et maroquin bleu dessinant un plan de Pigalle en 1927, gardes de maroquin bleu ornées d'un semis d'étoiles au palladium, couverture et dos, tranches dorées sur témoins, chemise et étui gainés de maroquin (Paul Bonet). ÉDITION ORIGINALE. Lithographies en couleurs de Marcel Vertès (1895-1961). L'un des 43 exemplaires (n° 3) sur hollande Van Gelder, accompagnés d'une suite des lithographies dans leur état noir, et noir et couleurs. Au début de la reliure sculptée. La rencontre de Paul Bonet (1889-1971) avec Giraldon en 1929 allait être déterminante dans la poursuite de son oeuvre, Giraldon étant l'exécutant parfait qu'il souhaitait depuis longtemps. C'est donc avec lui qu'il commença en 1931 cette série, ininterrompue dans son oeuvre, des reliures dites sculptées. Dessinée en 1931 pour le compte de Mme Armand Massard, cette reliure sculptée (« le décor en bas-relief ») fut achevée par Giraldon le 15 avril 1932, et ne fut jamais refaite. Dimensions : 250 x 185 mm. Provenance : Mme Armand Massard. [...], Paul Bonet, Carnets 1924-1971, n° 206.
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