SAINT-SAËNS Camille. Réunion de 13 lettres autographes signées à Paul Meurice. Paris, 1891-1902 ; et s.d. 1. Remerciements pour l’envoi de Léonard Aubry, roman de Meurice. « Heureux qui peuvent ainsi donner aux pensées délicates une forme solide et limpide… ». (Genève, 10 août 1891 ; 2 p. in-8). 2. Longue lettre où il raconte avec humour ses démêlés avec un volume de Fanfan la Tulipe (ouvrage dont Meurice est l’auteur). (Genève, 15 juillet 1892, 3 p. gr. in-4). 3. « Je n’étais pas loin pour dimanche mais tant pis, j’irai tout de même chez vous ». (6 nov. 1894 ; 2 p. in-8). 4. « J’écris à Gallet pour qu’il choisisse son jour. Je suis à la fois charmé et intrigué… ; de quoi peut-il bien s’agir ? » (13 juin 1895) ; 3 p. in-8. 5. « Gallet choisit le mardi il me prie de vous dire qu’il se considère comme invité… » (19 juin 1895 ; 2 p. in-8). 6. « Il y a deux vers qui me chiffonnent ; “Il eut ce qu’on se donne / Cet autre roi d’Édone” ». Longue dissertation sur le nom « Édone » (s.d. ; 2 p. gr. in-4). 7. Il s’élève véhémentement contre un abus qui a été fait de son nom et de sa musique par une société commerciale. « Il y a là un manque de tact, pour le moins, que je ne puis tolérer ». « Je profite de cette occasion pour vous redire combien j’ai été heureux du grand succès que vous avez remporté au Théâtre-Français » (21 mai 1899 ; 4 p. in-8). 8. Remerciements pour l’envoi du « magnifique “Centenaire de Victor Hugo” » (21 juil. 1902 ; 4 p. in-8). 9. Il renonce à faire « la musique de ce tableau de la barricade ». « Il faudrait suivre les répétitions, mouler cela sur la mise en scène ». En ce moment cela lui est impossile. (S.l.n.d. ; 4 p. in-8). 10. Il n’aura garde de « manquer une aussi précieuse invitation » (S.d. ; p. in-12 oblong). 11. « Voulez-vous me permettre de vous inviter à la 1re représentation de Déjanire » [Monte-Carlo, 14 mars 1911 ?] ; p. in-8 oblong. Cette lettre ne semble pouvoir être adressée à P. Meurice en raison de la date. 12. « Je crois qu’il n’y a qu’une musique possible pour notre Antigone celle de Mendelssohn… » 26 sept. 1893, 4 p. in-12. 13. Préconisations techniques pour la succession des strophes et de la musique. Asnières, 26 sept. 1893.
SAINT-SAËNS Camille. Réunion de 13 lettres autographes signées à Paul Meurice. Paris, 1891-1902 ; et s.d. 1. Remerciements pour l’envoi de Léonard Aubry, roman de Meurice. « Heureux qui peuvent ainsi donner aux pensées délicates une forme solide et limpide… ». (Genève, 10 août 1891 ; 2 p. in-8). 2. Longue lettre où il raconte avec humour ses démêlés avec un volume de Fanfan la Tulipe (ouvrage dont Meurice est l’auteur). (Genève, 15 juillet 1892, 3 p. gr. in-4). 3. « Je n’étais pas loin pour dimanche mais tant pis, j’irai tout de même chez vous ». (6 nov. 1894 ; 2 p. in-8). 4. « J’écris à Gallet pour qu’il choisisse son jour. Je suis à la fois charmé et intrigué… ; de quoi peut-il bien s’agir ? » (13 juin 1895) ; 3 p. in-8. 5. « Gallet choisit le mardi il me prie de vous dire qu’il se considère comme invité… » (19 juin 1895 ; 2 p. in-8). 6. « Il y a deux vers qui me chiffonnent ; “Il eut ce qu’on se donne / Cet autre roi d’Édone” ». Longue dissertation sur le nom « Édone » (s.d. ; 2 p. gr. in-4). 7. Il s’élève véhémentement contre un abus qui a été fait de son nom et de sa musique par une société commerciale. « Il y a là un manque de tact, pour le moins, que je ne puis tolérer ». « Je profite de cette occasion pour vous redire combien j’ai été heureux du grand succès que vous avez remporté au Théâtre-Français » (21 mai 1899 ; 4 p. in-8). 8. Remerciements pour l’envoi du « magnifique “Centenaire de Victor Hugo” » (21 juil. 1902 ; 4 p. in-8). 9. Il renonce à faire « la musique de ce tableau de la barricade ». « Il faudrait suivre les répétitions, mouler cela sur la mise en scène ». En ce moment cela lui est impossile. (S.l.n.d. ; 4 p. in-8). 10. Il n’aura garde de « manquer une aussi précieuse invitation » (S.d. ; p. in-12 oblong). 11. « Voulez-vous me permettre de vous inviter à la 1re représentation de Déjanire » [Monte-Carlo, 14 mars 1911 ?] ; p. in-8 oblong. Cette lettre ne semble pouvoir être adressée à P. Meurice en raison de la date. 12. « Je crois qu’il n’y a qu’une musique possible pour notre Antigone celle de Mendelssohn… » 26 sept. 1893, 4 p. in-12. 13. Préconisations techniques pour la succession des strophes et de la musique. Asnières, 26 sept. 1893.
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