Jules Gabriel JANIN (1804-1874) Panthéon Nadar 47 Aquarelle rehaussée de gouache et de fusain, signée de l'initiale en bas à droite. 23,5 x 15,5 cm (Accidents) (BN Na 88 Boîte 17) Né à Saint-Étienne (Loire). Critique et écrivain. Il va finir ses études à Paris. Il commence à écrire dans les "feuilles" de théâtre, puis entre au Figaro, où ses articles contre le gouvernement et les Jésuites ont du succès. Il devient rédacteur de la Quotidienne, puis il fonde La revue de Paris et le Journal des enfants. En même temps est publié son premier roman : L'Ane mort et la femme guillotinée, 1829. L'année suivante avec La confession roman politique et religieux, le fait remarquer par la nouveauté du style. Hostile à la monarchie de juillet. Il entre au Journal des débats pour la rédaction du feuilleton dramatique. Il devient et se nomme lui-même "le prince de la critique" et exerce dès lors, du droit de son esprit et sans aucune déclaration de principes, la plus arbitraire et la plus absolue des royautés. Il a écrit de nombreux ouvrages, des séries de romans et nouvelles, des préfaces, des introductions, des essais, des notices, des contes fantastiques, 1832, Le chemin de traverse, 1836, Un cœur pour deux amours, 1837, La religieuse de Toulouse, 1850..., La Normandie historique, pittoresque et monumentale, 1842-1843, La Bretagne historique, 1844..., Les symphonies de l'hiver, 1857, Une traduction en prose d'Horace, 1860... Sources : Vapereau pages 952 et 953. Estimation
Jules Gabriel JANIN (1804-1874) Panthéon Nadar 47 Aquarelle rehaussée de gouache et de fusain, signée de l'initiale en bas à droite. 23,5 x 15,5 cm (Accidents) (BN Na 88 Boîte 17) Né à Saint-Étienne (Loire). Critique et écrivain. Il va finir ses études à Paris. Il commence à écrire dans les "feuilles" de théâtre, puis entre au Figaro, où ses articles contre le gouvernement et les Jésuites ont du succès. Il devient rédacteur de la Quotidienne, puis il fonde La revue de Paris et le Journal des enfants. En même temps est publié son premier roman : L'Ane mort et la femme guillotinée, 1829. L'année suivante avec La confession roman politique et religieux, le fait remarquer par la nouveauté du style. Hostile à la monarchie de juillet. Il entre au Journal des débats pour la rédaction du feuilleton dramatique. Il devient et se nomme lui-même "le prince de la critique" et exerce dès lors, du droit de son esprit et sans aucune déclaration de principes, la plus arbitraire et la plus absolue des royautés. Il a écrit de nombreux ouvrages, des séries de romans et nouvelles, des préfaces, des introductions, des essais, des notices, des contes fantastiques, 1832, Le chemin de traverse, 1836, Un cœur pour deux amours, 1837, La religieuse de Toulouse, 1850..., La Normandie historique, pittoresque et monumentale, 1842-1843, La Bretagne historique, 1844..., Les symphonies de l'hiver, 1857, Une traduction en prose d'Horace, 1860... Sources : Vapereau pages 952 et 953. Estimation
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