Beschreibung:

Pierre Fresnay, Calmann-Lévy, 1950, édition originale, exemplaire de l'auteur ( n°1 sur vergé ). On joint, dans la même reliure : Pierre FRESNAY : Je suis comédien, entretiens avec Albert Dubeux, préface de Bernard Gavoty, Editions du Conquistador, 1954. Les 2 volumes in-8 reliés en un tome, demi-basane beige à bande, dos lisse, pièce de titre en maroquin havane, tête dorée, couverture conservée. Exemplaire rendu unique par les nombreux documents joints : 1 photographie originale du comédien ( photo Raymond Voinquel, 9 x 14 ) utilisée pour le frontispice et comportant cette dédicace autographe de Pierre Fresnay : « Cher Albert Dubeux, vous savez depuis longtemps mon amitié mais je suis heureux de vous en assurer une nouvelle fois, aujourd'hui où vous me donnez un si précieux témoignage de la vôtre. Septembre 50. » ; également, le contrat originel d'Albert Dubeux avec les éditions de l'Ancre d'Or ( 15.1.1948 ) ; le texte autographe de l'envoi de Dubeux à Fresnay ( sur 1 page in-4 ) : « Ce petit livre est-il digne de vous, mon cher ami ?J'en doute fort, hélas ! Croyez du moins que j'y ai mis, je ne dis pas mon amitié, qui n'a rien à voir en la circonstance - mais l'admiration profonde que j'éprouve à l'égard du premier comédien de notre temps et le souci de cette vérité qui nous est pareillement chère à tous deux. » ( au dos, brouillon de l'envoi à Suzanne Desprès ). D'autre part, Je suis comédien comporte un envoi autographe de Fresnay à Dubeux, le texte autographe de la préface de Bernard GAVOTY ( directeur de la collection « Mon Métier », 11 pages in-8 sur papier rose ), 1 lettre autographe signée du même à Pierre Fresnay ( enthousiaste après la sortie du film Monsieur Vincent - 2 pages in-8 datées du 3/1/48 ) ; 2 lettres autographes signées du comédien à son biographe : « ...J'accepte très diffi cilement la pensée de la peine que vous vous donnez pour tracer ce portrait... » ( 2 pages in-4 ) « ...Votre travail m'a enchanté, bien que ma modestie ait eu à maintes reprises et en toute bonne foi à en souffrir... (...) Je vous remercie très cordialement, très sincèrement et sans la moindre trace de réserve et de mesure protestante du temps, du talent et de l'amitié que vous avez consacrés à cette étude... » Et il donne quelques précisions au sujet d'Yvonne Printemps et de son maître Paul Mounet ( 2 pages in-8 ). Exceptionnel ensemble