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Auction archive: Lot number 363

1972 FERRARI 365 GTB/4 DAYTONA - no reserve

Estimate
€0
Price realised:
€307,371
ca. US$410,618
Auction archive: Lot number 363

1972 FERRARI 365 GTB/4 DAYTONA - no reserve

Estimate
€0
Price realised:
€307,371
ca. US$410,618
Beschreibung:

1972 FERRARI 365 GTB/4 DAYTONA - no reserve Carte grise française Châssis n° 16119 - Achetée neuve par la société de Claude Lelouch - Historique français suivi - Modèle exceptionnellement performant - Sans réserve Lamborghini avait ouvert la voie d'une nouvelle configuration, pour les voitures de sport ultra-performantes: celle du moteur central, ce qui permet un abaissement du centre de gravité et une meilleure répartition des poids. Pourtant, lorsque l'on compare la stabilité à grande vitesse d'une Lamborghini Miura et d'une Ferrari Daytona, on peut comprendre le choix d'Enzo Ferrari: la Daytona ne dévie pas d'un pouce alors que la Miura a tendance à lever le nez. Les qualités de la Ferrari ont d'ailleurs été confirmées par ses succès en compétition (dont une victoire au Tour Auto en 1972 avec Andruet/Biche), ce qui n'est pas le cas de la Miura. Après avoir fait l'objet à l'époque de sarcasmes injustifiés de la part de spécialistes, la Daytona bénéficie aujourd'hui d'une incontestable aura qui s'appuie sur plusieurs critères: c'est la dernière Ferrari V12 à moteur avant de cette époque; onctueux autant que rageur, il délivre 352 ch à 7 500 tr/mn, ce qui propulse la voiture à 270 km/h; ses qualités routières sont incontestables, notamment dans les grandes courbes prises à pleine vitesse; elle bénéficie d'une ligne impressionnante tracée par Fioravanti, pour Pininfarina. La Ferrari Daytona que nous présentons a été vendue neuve le 13 octobre 1972 par les établissements Pozzi aux Films 13, domiciliée 15 avenue Hoche, à Paris. Cette société appartenant à Claude Lelouch, c'est sans doute le fameux cinéaste, passionné par les voitures de sport, qui a été le premier à en tenir le volant après avoir utilisé une 275 GTB. De couleur bleu nuit, notre Daytona est alors immatriculée 9988 YP 75. Un an plus tard, la 4 octobre 1973, elle est rachetée par un propriétaire parisien du nom de Michel D'Amato avant de changer de mains le 18 janvier 1974 et de prendre l'immatriculation 9981 QU 95. Le 1er août 1975, elle part pour la région lyonnaise et reçoit un nouveau numéro: 2583 FV 69. Trois ans plus tard, le 15 novembre 1978, elle est vendue à M. Jean-Pierre Degenève, propriétaire du garage Toyota à Annemasse, en Savoie. Il la garde plus longtemps que les propriétaires précédents et la cède le 2 avril 1987 à un collectionneur lyonnais, amateur de Ferrari qui a eu plusieurs Daytona entre les mains, ce dernier nous a confirmé que "Cette Daytona marchait fort, je l'ai utilisée deux fois aux 100 GT Dijon de 1987 et 1988. Jusqu'à ce que je m'en sépare, elle était absolument parfaite." En 1989, il la confie à Me Poulain pour la vendre aux enchères le 19 juin. Elle affiche alors 54 580 km et c'est ce jour-là que M. Pierre Brignole en fait l'acquisition. Depuis, la voiture a peu roulé puisque le compteur affiche 57 650 km. Elle se présente donc dans un bel état, semblant toujours avoir été préservée avec un intérieur d'origine. De plus, il s'agit d'une voiture de la série "365 GTB4-A", une version européenne à phares escamotables. Cette voiture présente donc une occasion rare d'acquérir une Daytona dont l'historique est bien connu, vendu par Pozzi au premier propriétaire, un cinéaste passionné et talentueux, et qui n'a parcouru que 3 000 km au cours des 20 dernières années. C'est une voiture encore sous-estimée par les collectionneurs tant elle clôt la lignée des légendaires berlinettes Ferrari à moteur avant avec brio. French title Chassis n° 16119 - Bought new by the company of Claude Lelouch - Continuous French history - Exceptionally powerful model - No reserve Lamborghini paved the way for a new configuration for high-performance sports cars, with a mid-engine format which allowed for a lower centre of gravity and improved weight distribution. However, when comparing the stability at high speed of a Lamborghini Miura and a Ferrari Daytona, one understands Enzo Ferrari's decision: the Daytona doesn't move an inch whereas the Miura has a tendency

Auction archive: Lot number 363
Auction:
Datum:
8 Feb 2013
Auction house:
Artcurial
7, rond-point des Champs-Élysées
75008 Paris
France
contact@artcurial.com
+33 (0)1 42992020
Beschreibung:

1972 FERRARI 365 GTB/4 DAYTONA - no reserve Carte grise française Châssis n° 16119 - Achetée neuve par la société de Claude Lelouch - Historique français suivi - Modèle exceptionnellement performant - Sans réserve Lamborghini avait ouvert la voie d'une nouvelle configuration, pour les voitures de sport ultra-performantes: celle du moteur central, ce qui permet un abaissement du centre de gravité et une meilleure répartition des poids. Pourtant, lorsque l'on compare la stabilité à grande vitesse d'une Lamborghini Miura et d'une Ferrari Daytona, on peut comprendre le choix d'Enzo Ferrari: la Daytona ne dévie pas d'un pouce alors que la Miura a tendance à lever le nez. Les qualités de la Ferrari ont d'ailleurs été confirmées par ses succès en compétition (dont une victoire au Tour Auto en 1972 avec Andruet/Biche), ce qui n'est pas le cas de la Miura. Après avoir fait l'objet à l'époque de sarcasmes injustifiés de la part de spécialistes, la Daytona bénéficie aujourd'hui d'une incontestable aura qui s'appuie sur plusieurs critères: c'est la dernière Ferrari V12 à moteur avant de cette époque; onctueux autant que rageur, il délivre 352 ch à 7 500 tr/mn, ce qui propulse la voiture à 270 km/h; ses qualités routières sont incontestables, notamment dans les grandes courbes prises à pleine vitesse; elle bénéficie d'une ligne impressionnante tracée par Fioravanti, pour Pininfarina. La Ferrari Daytona que nous présentons a été vendue neuve le 13 octobre 1972 par les établissements Pozzi aux Films 13, domiciliée 15 avenue Hoche, à Paris. Cette société appartenant à Claude Lelouch, c'est sans doute le fameux cinéaste, passionné par les voitures de sport, qui a été le premier à en tenir le volant après avoir utilisé une 275 GTB. De couleur bleu nuit, notre Daytona est alors immatriculée 9988 YP 75. Un an plus tard, la 4 octobre 1973, elle est rachetée par un propriétaire parisien du nom de Michel D'Amato avant de changer de mains le 18 janvier 1974 et de prendre l'immatriculation 9981 QU 95. Le 1er août 1975, elle part pour la région lyonnaise et reçoit un nouveau numéro: 2583 FV 69. Trois ans plus tard, le 15 novembre 1978, elle est vendue à M. Jean-Pierre Degenève, propriétaire du garage Toyota à Annemasse, en Savoie. Il la garde plus longtemps que les propriétaires précédents et la cède le 2 avril 1987 à un collectionneur lyonnais, amateur de Ferrari qui a eu plusieurs Daytona entre les mains, ce dernier nous a confirmé que "Cette Daytona marchait fort, je l'ai utilisée deux fois aux 100 GT Dijon de 1987 et 1988. Jusqu'à ce que je m'en sépare, elle était absolument parfaite." En 1989, il la confie à Me Poulain pour la vendre aux enchères le 19 juin. Elle affiche alors 54 580 km et c'est ce jour-là que M. Pierre Brignole en fait l'acquisition. Depuis, la voiture a peu roulé puisque le compteur affiche 57 650 km. Elle se présente donc dans un bel état, semblant toujours avoir été préservée avec un intérieur d'origine. De plus, il s'agit d'une voiture de la série "365 GTB4-A", une version européenne à phares escamotables. Cette voiture présente donc une occasion rare d'acquérir une Daytona dont l'historique est bien connu, vendu par Pozzi au premier propriétaire, un cinéaste passionné et talentueux, et qui n'a parcouru que 3 000 km au cours des 20 dernières années. C'est une voiture encore sous-estimée par les collectionneurs tant elle clôt la lignée des légendaires berlinettes Ferrari à moteur avant avec brio. French title Chassis n° 16119 - Bought new by the company of Claude Lelouch - Continuous French history - Exceptionally powerful model - No reserve Lamborghini paved the way for a new configuration for high-performance sports cars, with a mid-engine format which allowed for a lower centre of gravity and improved weight distribution. However, when comparing the stability at high speed of a Lamborghini Miura and a Ferrari Daytona, one understands Enzo Ferrari's decision: the Daytona doesn't move an inch whereas the Miura has a tendency

Auction archive: Lot number 363
Auction:
Datum:
8 Feb 2013
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Artcurial
7, rond-point des Champs-Élysées
75008 Paris
France
contact@artcurial.com
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