5 Lettres autographes (dont une signée de son paraphe), [Stockholm 1813], au comte Wolf von Baudissin; sur 5 pages in-8, 4 adresses.Pendant son exil en Suède.Elle sollicite le jeune diplomate au sujet d'un visa sur une procuration pour son amant Albert de Rocca: «Je suis honteuse de vous donner tant d'embarras [...] Je ne saurois vous dire assez combien j'ai d'estime pour votre caractere et d'attrait pour votre esprit»...Elle lui apprend les dernières nouvelles politiques: «Savez vous que le traité d'Espagne est revenu sans être ratifié parce qu'il y avoit un défaut de forme relatif à l'énoncé de la captivité de Ferdinand 7. Le tout a été renvoyé à l'Angleterre [...] Le subside de l'Angleterre pour l'expédition est de 200 mille livres sterlings par mois. Se peut-il qu'on veuille braver tout cela chez vous ?»...Elle le supplie de lui donner des nouvelles: «Vous savez quel intérêt de coeur pour vous et d'ame pour le monde m'attache à ces nouvelles»...Elle apprend «que vous allez recevoir demain l'ordre de partir - Mon Dieu que c'est triste [...] Ah que la politique serre le coeur !»...Elle dîne ce soir chez le Prince [Bernadotte]: «Ainsi je ne vous attends qu'à déjeuner et à souper - Mon Dieu que je suis triste de votre départ - je le suis plus que je ne devrois l'être»... On joint une petite lettre autographe signée de son mari, Erik Magnus Staël de Holstein.
5 Lettres autographes (dont une signée de son paraphe), [Stockholm 1813], au comte Wolf von Baudissin; sur 5 pages in-8, 4 adresses.Pendant son exil en Suède.Elle sollicite le jeune diplomate au sujet d'un visa sur une procuration pour son amant Albert de Rocca: «Je suis honteuse de vous donner tant d'embarras [...] Je ne saurois vous dire assez combien j'ai d'estime pour votre caractere et d'attrait pour votre esprit»...Elle lui apprend les dernières nouvelles politiques: «Savez vous que le traité d'Espagne est revenu sans être ratifié parce qu'il y avoit un défaut de forme relatif à l'énoncé de la captivité de Ferdinand 7. Le tout a été renvoyé à l'Angleterre [...] Le subside de l'Angleterre pour l'expédition est de 200 mille livres sterlings par mois. Se peut-il qu'on veuille braver tout cela chez vous ?»...Elle le supplie de lui donner des nouvelles: «Vous savez quel intérêt de coeur pour vous et d'ame pour le monde m'attache à ces nouvelles»...Elle apprend «que vous allez recevoir demain l'ordre de partir - Mon Dieu que c'est triste [...] Ah que la politique serre le coeur !»...Elle dîne ce soir chez le Prince [Bernadotte]: «Ainsi je ne vous attends qu'à déjeuner et à souper - Mon Dieu que je suis triste de votre départ - je le suis plus que je ne devrois l'être»... On joint une petite lettre autographe signée de son mari, Erik Magnus Staël de Holstein.
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