Max JACOB -- Pablo PICASSO Saint Matorel . Illustré d'eaux-fortes par Pablo Picasso Paris: Henry Kahnweiler, 1911 In-4. 260 x 190 mm. Couvertures de papier Japon imprimées en noir. 13 cahiers numérotés de 2 à 13 comportant chacun 4 feuillets. Les 4 gravures hors texte mesurent toutes environ 200 x 140 mm hors marges, elles sont numérotées au crayon : 18, 34, 58, 74. RELIURE SIGNÉE DE SAULNIER. Maroquin havane, quadruple filet doré autour des plats, dos à l'identique, quatre nerfs, titre doré. Gardes de papier artisanal à marbrures. Etui bordé. Edition originale tirée à 100 exemplaires numérotés à la presse. L'un des 15 exemplaires de tête sur Japon. Il est signé à l'encre noire par Max Jacob et Picasso. Dans sa conclusion, Max Jacob annonce qu'il y aura une suite à ce Saint Matorel dont les aventures picaresques ont heureusement inspiré la créativité de Picasso. C'est lors d'un séjour à Cadaquès, en 1910, que Picasso travailla à ces gravures qui marquèrent l'éclosion de sa période cubiste. Les possibilités de ce nouveau style furent largement explorées dans cette illustration puisque Picasso donne deux représentations d'un personnage: Mademoiselle Léonie; d'une nature morte: la table de l'auberge; et enfin d'un monument: le couvent des Lazaristes à Barcelone où est censé se retirer le Saint Matorel de Max Jacob Référence: Goeppert- Cramer, Picasso n°2.
Max JACOB -- Pablo PICASSO Saint Matorel . Illustré d'eaux-fortes par Pablo Picasso Paris: Henry Kahnweiler, 1911 In-4. 260 x 190 mm. Couvertures de papier Japon imprimées en noir. 13 cahiers numérotés de 2 à 13 comportant chacun 4 feuillets. Les 4 gravures hors texte mesurent toutes environ 200 x 140 mm hors marges, elles sont numérotées au crayon : 18, 34, 58, 74. RELIURE SIGNÉE DE SAULNIER. Maroquin havane, quadruple filet doré autour des plats, dos à l'identique, quatre nerfs, titre doré. Gardes de papier artisanal à marbrures. Etui bordé. Edition originale tirée à 100 exemplaires numérotés à la presse. L'un des 15 exemplaires de tête sur Japon. Il est signé à l'encre noire par Max Jacob et Picasso. Dans sa conclusion, Max Jacob annonce qu'il y aura une suite à ce Saint Matorel dont les aventures picaresques ont heureusement inspiré la créativité de Picasso. C'est lors d'un séjour à Cadaquès, en 1910, que Picasso travailla à ces gravures qui marquèrent l'éclosion de sa période cubiste. Les possibilités de ce nouveau style furent largement explorées dans cette illustration puisque Picasso donne deux représentations d'un personnage: Mademoiselle Léonie; d'une nature morte: la table de l'auberge; et enfin d'un monument: le couvent des Lazaristes à Barcelone où est censé se retirer le Saint Matorel de Max Jacob Référence: Goeppert- Cramer, Picasso n°2.
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